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18 Janvier 2015 – L’assassinat du procureur Alberto Nisman en Argentine

Netflix Rolls Out Documentary On Murder Of Jewish Argentine Prosecutor - I24NEWSLe procureur Nisman n’est pas juste un martyr du peuple argentin, mais aussi de la paix et de l’humanitéImageUn juge ordonne l’arrestation de l’ex-présidente d’Argentine pour sa collusion avec le régime iranien pour couvrir le crime d’AMIAArgentina will not rest until perpetrators of AMIA bombing brought to justice' - www.israelhayom.comLa justice argentine a confirmé que le procureur Alberto Nisman, chargé d’enquêter sur un attentat contre la communauté juive, avait été assassiné, écartant définitivement la thèse du suicide. Pour la Cour d’appel fédérale, Alberto «Nisman a été assassiné et ce fait a été la conséquence directe de l’accusation (qu’il avait) formulée le 14 janvier 2015 comme chef du parquet spécial Amia».ImageLe procureur se disposait en effet à remettre au Parlement ses conclusions sur deux attentats à la voiture piégée contre l’ambassade d’Israël le 17 mars 1992 (29 morts) et une association juive de Buenos Aires le 18 juillet 1994 (84 morts). Il accusait la présidente d’avoir entravé l’enquête pour protéger les liens commerciaux entre l’Argentine et l’Iran, soupçonné d’être le commanditaire de l’attentat.After 17 years on Argentine bomb case, prosecutor was sure 'truth will triumph' - The Washington PostLe procureur Alberto Nisman, retrouvé une balle dans la tête en 18 janvier 2015, enquêtait sur les liens entre Cristina Kirchner et un attentat antisémite de 1994.  Le procureur argentin Alberto Nisman, mort en 2015 alors qu’il enquêtait sur l’attentat contre des institutions juives en 1994 à Buenos Aires qui avait fait 85 morts, a été assassiné, conclut une expertise de la gendarmerie qui ajoute au mystère de cette mort au très fort retentissement.

Drogué et battu.Argentina designates Hezbollah as terrorist organisation - BBC NewsSelon le rapport, remis au procureur fédéral Eduardo Taiano et dont la presse a révélé des détails samedi, Alberto Nisman a été drogué à la kétamine, un puissant anesthésique, et roué de coups portés au nez, au foie et aux jambes avant d’être abattu dans sa salle de bain.Argentina Jewish center bombing still a mystery – DW – 12/23/2020Un juge ordonne l’arrestation de l’ex-présidente d’Argentine pour sa collusion avec le régime iranien pour couvrir le crime d’AMIASouthwestern Journal of International Law to Host "25 Years After Argentina's AMIA Bombing: Justice vs. Impunity" – February 21, 2019 | Southwestern Law SchoolSaluant cette décision, la Résistance iranienne appelle le gouvernement et le pouvoir judiciaire argentins ainsi que la communauté internationale à traduire en justice les responsables du crime d’Amia et les assassins du juge Alberto Nisman. Le 7 décembre 2017, un juge fédéral argentin, Claudio Bonadio, a ordonné l’arrestation de l’ancienne présidente Cristina Fernández de Kirchner, et de plusieurs de ses assistants, y compris son ministre des Affaires étrangères, Hector Timerman, pour « trahison » et pour collusion avec le régime iranien afin de dissimuler les preuves dans l’enquête sur l’attentat à la bombe perpétré contre un centre communautaire juif argentin (Amia) à Buenos Aires, le 18 juillet 1994. Ce drame terroriste a fait 85 morts et 300 blessés.  ImageLe juge a également demandé au Sénat argentin de lever l’immunité de Cristina Fernandez de Kirchner. Celle-ci a essayé d’obtenir une protection contre les poursuites, dans sa fonction de sénatrice, après la fin de son mandat présidentiel. Avant cela, les enquêtes menées par le juge martyr Alberto Nisman en 2015 ont abouti à des résultats similaires et alors qu’il se préparait à présenter son rapport au parlement, il a été assassiné dans son appartement à Buenos Aires. Les rapports de l’époque indiquaient que l’ex-présidente d’Argentine avait bloqué les enquêtes dans le cadre d’un accord avec le régime des mollahs, en échange d’importations de brut et de bénéfices tirés des accords commerciaux.Argentine President Says Prosector Who Accused Her Was Murderered | TimeEn 1994, la Résistance iranienne avait fait part des détails de l’attentat à la bombe perpétré par le régime des mollahs, ainsi que l’implication de ses hauts responsables.Justice is elusive six years after the murder of Alberto Nisman - AlbertoNisman.orgAprès l’assassinat du juge Nisman, la Commission juridique du Conseil National de la Résistance iranienne (CNRI) a appelé les juristes, les avocats et les honorables juges argentins à ne pas laisser la justice devenir la victime d’accords et de collusion avec le régime théocratique. La Commission du CNRI a estimé dans un communiqué : « A présent le peuple argentin, l’histoire, la conscience de tous ceux qui réclament justice dans le monde, ainsi que le peuple iranien et sa Résistance, et plus important encore, l’âme du martyr Nisman attendent la prochaine décision du pouvoir judiciaire argentin pour savoir quel sera le sort de ce dossier. »  Il ne fait point de doute que sur le plan juridique l’attentat d’AMIA en 1994 à Buenos Aires relève de crime contre l’humanité et constitue un crime imprescriptible.The Conspiracies of the AMIA Attack | The New YorkerLa CNRI salue le geste courageux du juge Bonadio et appelle le gouvernement argentin ainsi que les honorables juges et avocats de ce pays à trainer en justice tous ceux qui sont impliqués dans le crime terroriste d’Amia et les auteurs de la conspiration de 2015, ainsi que les meurtriers d’Alberto Nisman. Le pouvoir judiciaire argentin a le soutien du peuple iranien et de sa Résistance et de tous les peuples épris de liberté dans le monde dans cet acte audacieux. La CNRI souligne que les responsables du crime contre l’humanité d’Amia et des centaines d’opérations terroristes à travers le monde sont les mêmes qui ont été à l’origine des exécutions de masse de quelque 120 000 prisonniers politiques en Iran, y compris du massacre de 30 000 prisonniers politiques durant l’été noir 1988. Elle appelle par conséquent la communauté internationale, en particulier le Conseil de sécurité de l’ONU, à prendre les décisions requises afin d’éliminer tous les obstacles et de permettre à la justice de prévaloir.

À propos du procureur argentin Alberto Nisman assassiné à la veille de son audition au parlement argentin dans le conflit avec le terrorisme d’Etat et du fascisme religieux au pouvoir en Iran et les marchandages à cet effet : Le Dr Alberto Nisman n’est pas seulement un martyr du peuple argentin, mais aussi un martyr de la paix et de l’humanité dans la lutte contre le terrorisme. De plus, il a une place particulière parmi les martyrs du peuple iranien et de sa résistance contre l’intégrisme islamiste et le terrorisme qu’il génère. Il a tenu bon avec courage devant le régime des mollahs et dénoncé les odieux marchandages politiques et économiques visant à laver ce régime du grand crime de l’attentat contre le centre AMIA et il a refusé de plier face aux menaces répétées et croissantes qui l’ont visé ces derniers mois. Le but de ce lâche assassinat était d’empêcher que la vérité éclate et de blanchir les mains du fascisme religieux en Iran de l’attentat à la bombe contre l’AMIA et d’ouvrir la voie à des transactions avec ce régime. La CNRI dès les premiers jours qui avaient suivi cet attentat avait révélé que la décision avait été prise dans le Conseil suprême de sécurité national et que les cerveaux et les auteurs étaient les dirigeants du régime, le ministère du renseignement (Vevak), la force terroriste Qods et le Hezbollah libanais. Ceci avait été révélé en détails par feu Ebrahim Zakeri, un responsable de l’OMPI alors président de la commission de la Sécurité et du Contre-terrorisme du CNRI et ses collègues lors de plusieurs rencontres à l’ambassade d’Argentine à Paris, au juge d’instruction du dossier.

La complaisance de l’Occident avec le régime des mollahsImageBien que le régime inhumain des mollahs et ses complices aient enlevé à la communauté internationale un procureur honorable et courageux, ce lâche assassinat ne pourra jamais arrêter la justice. Il ne fait aucun doute que les dirigeants du régime des mollahs seront traduits devant un tribunal en raison de centaines d’actes terroristes, l’exécution de 120.000 prisonniers politiques et le massacre de la population innocentes en Syrie, en Irak, au Yémen et au Liban…. ImageEvoquant les préparatifs politiques du régime de Téhéran avant l’assassinat du procureur Nisman, il faut demander l’ouverture d’une enquête internationale indépendante sur les instigateurs et les auteurs de ce grand crime contre la vérité et la justice. Cette enquête s’inscrit dans le cadre de celle de l’attentat de l’Amia et il ne fait aucun doute que l’on y trouvera aussi les traces du régime iranien. Si chacun des crimes de ce régime qui est le financier central du terrorisme d’État fait l’objet d’une enquête, elle remontera jusqu’aux plus hautes autorités. L’exportation du terrorisme est un instrument pour faire avancer la politique des mollahs et ils n’y renonceront jamais. La complaisance de l’Occident avec les mollahs les a encouragés à exporter le terrorisme et le fondamentalisme, de manière à ce qu’aujourd’hui, toute la région soit remplie de leurs crimes.

Selon l’enquête du procureur Nisman, le plan de l’attentat à la bombe du centre juif à Buenos Aires a été discuté dans une réunion du Conseil suprême de sécurité nationale le 14 aout 1993 par le guide suprême Khamenei, le président de l’époque Rafsandjani, le ministre des affaires étrangères de l’époque Ali Akbar Velayati et le ministre du renseignement de l’époque Ali Fallahian. Une fois la décision finalisée, Khamenei a chargé le Vevak et la Force Qods des pasdaran à mener l’attentat. A l’époque Ahmad Vahidi commandait la Force Qods et Mohsen Rezaï commandait les pasdaran. L’enquête de Nisman révèle que le mollah Mohsen Rabbani, principale tête de pont du terrorisme du régime en Amérique latine qui travaillait là-bas sous couvert d’attaché culturel à l’ambassade de Buenos Aires, avec un autre agent du Vevak nommé Ahmad Reza Asghari, sous couvert de troisième secrétaire de l’ambassade, et Imad Moughnieh , commandant du Hezbollah, ont été impliqués dans la mise en œuvre du plan.

Le 25 octobre 2006, le procureur argentin a délivré des mandats d’arrêt internationaux pour les individus mentionnés ci-dessus sauf pour Khamenei. Nisman a travaillé dur pour faire juger ces individus par contumace. L’hostilité hystérique des mollahs envers le procureur Nisman est évidente du fait qu’au moins cinq des huit personnes visées par les mandats. Ce n’est pas un hasard si les média du régime, spécialement Fars, l’agence de presse des pasdaran, ont propagé de multiples fausses informations du 15 au 18 janvier, ou les jours avant l’assassinat du procureur Nisman, qui ont totalement déformé la réalité. Cela visait à faire croire que l’insistance de Nisman sur la responsabilité du régime iranien dans l’attentat de l’AMIA « avait soulevé de vives protestations dans divers secteurs dans ce pays (Argentine) » et ainsi « la société argentine était excédée par Nisman » (Fars, 17 janvier). L’agence des pasdaran avait rapporté le 18 janvier que « Nisman est un procureur américain et israélien et qu’au lieu de servir la justice de son pays, il mène des activités pour les services de renseignements américains et sionistes. » Il ne fait pas de doute que ces déclarations absurdes préparaient le terrain à son assassinat.

Qui est Ahmad Vahidi ? En Iran, le nouveau ministre de l’intérieur recherché par InterpolImagePar ailleurs, le président iranien Ebrahim Raïssi [Le peuple iranien connaît Raïssi comme le « bourreau du massacre de 1988 ». Il a été l’un des principaux auteurs du meurtre de plus de 30 000 prisonniers politiques en 1988.] a présenté son gouvernement garanti 100 % conservateur et masculin. La nomination d’Ahmad Vahidi au poste de ministre de l’intérieur, recherché par Interpol pour son implication dans un attentat contre un centre juif en Argentine en 1994, a vivement fait réagir. Sa désignation a soulevé les vives protestations de l’Argentine pour avoir dirigé l’attentat meurtrière de 1994 dans ce pays, faisant 85 morts et 300 blessés. Vahidi est sous le coup d’un mandat d’arrêt international et activement recherché par Interpol, qui a émis en 2007 des avis de recherche internationaux en vue de l’extradition de cinq dirigeants iraniens, dont Ahmad Vahidi, accusés par la justice argentine d’avoir joué un rôle dans l’attentat contre l’AMIA (Association mutuelle israélite argentine). Image « Vahidi est non seulement sous le coup d’un mandat d’arrêt de la justice argentine, mais il est aussi l’une de ces personnes dont la recherche fait l’objet d’une priorité maximale, approuvée par Interpol lors d’un vote à la majorité de ses membres en Assemblée générale au Maroc en novembre 2007 », a déclaré le procureur argentin Alberto Nisman. Vahidi n’est pas une figure méconnue pour les iraniens. C’est lui qui a planifié les nombreux attentats terroristes à travers le monde en sa qualité de commandant en chef de la force Qods des Gardiens de la révolution de 1990 à 1997. Cette force à qui on avait confié la mission «vitale » d’« exporter la révolution islamique », constitue le fer de lance de la stratégie de survie du régime. L’exportation de la révolution, dans le jargon du régime signifie soutenir les mouvements intégristes et terroristes à travers le monde qui lui servent de leviers de pression et de chantage contre les pays occidentaux et la communauté internationale en général. Elle s’inscrit dans une doctrine promue par des théoriciens du régime visant à « l’essor du mouvement islamiste » pour servir les intérêts du Guide suprême religieux Ali Khamenei et s’imposer en puissance incontournable sur la scène internationale.

Vahidi, un vétéran des Pasdaran, est un des artisans de cette politique. Dès 1981 il s’est vu confié le poste sensible du renseignement au sein des Pasdaran. De plus, à la tête du centre de commandement « Balal » et ensuite celui de « Ramazan », ancêtres de la force Qods, Vahidi a également été en charge des opérations (terroristes) extraterritoriales en Asie et en Europe. C’est sous ses commandes que les opérations de prise d’otages occidentaux au Liban et les attentats meurtriers contre les cibles occidentaux dans ce pays ont été réalisées. A cet égard, les pays occidentaux auraient bien plus de raison de s’indigner de la désignation de Vahidi que l’Argentine.  Au lendemain de la guerre avec l’Irak, le régime iranien se lance dans des opérations terroristes d’une envergure inédite.  Khamenei, le Guide suprême du régime, confie à Vahidi le commandement de la Force Qods qui vient d’être créer (1990). Le CNRI a été le premier à alerter l’opinion publique internationale sur l’aventurisme meurtrière des Pasdaran mise en œuvre par la force Qods.  La mission générale de la force Qods, conformément à son statut interne, est décrite de la façon suivante dans un document confidentiel révélé par l’auteur de «Les gardiens de la révolution, larmée intégriste et terroristes » (Édition Jean Picollec 2008) :Image« Vahidi a été particulièrement actif dans l’assassinat des opposants à l’étranger dans les années 90. Des dizaines d’opposants ont ainsi été assassiné à Rome, Genève, Paris, Berlin, Vienne, Istanbul, Karatchi, Bagdad. Au terme de 10 ans d’enquête sur l’assassinat à Rome de Mohamad Naghdi, représentant du CNRI, en 1993, la Cour d’assise de Rome a conclu dans son verdict du 13 décembre 2006 : « Ces crimes démontrent la volonté du régime de Téhéran de mener une bataille sans limite et sans frontières, par tous les moyens contre ses opposants afin de les éliminer. ( ) On peut comprendre que l’assassinat de Naghdi avait pour objectif de faire taire une autorité importante de la résistance, un opposant fier qui ne pardonnait pas les dérives du régime de Téhéran ( ) ».

Un tribunal argentin déclare que le procureur dans l’affaire de l’attentat à la bombe de l’AMIA a été assassiné

La mort d’Alberto Nisman, qui devait révéler la preuve que le président a dissimulé le rôle de l’Iran dans l’attentat à la bombe contre un centre juif en 1994, « ne pouvait pas être un suicide », selon un jugeImageLe procureur spécial argentin, retrouvé mort en 2015 alors qu’il enquêtait sur l’attentat à la bombe d’un centre juif en 1994, a été assassiné, a déclaré mardi un juge fédéral du pays.  La mort d’Alberto Nisman « ne pouvait pas être un suicide », a écrit le juge Julian Ercolini dans sa décision de 656 pages, selon Reuters.  Il a déclaré qu’il y avait suffisamment de preuves pour étayer un acte criminel dans la mort de Nisman, qui a été découvert dans son appartement de Buenos Aires avec une blessure par balle à la tête, tirée à bout portant d’une arme de poing trouvée à ses côtés.  La décision d’Ercolini a également pointé un suspect dans la mort : Diego Lagomarsino, un employé informatique du bureau de Nisman, qui, selon lui, était un possible complice du meurtre.  Le corps de Nisman a été retrouvé le 18 janvier 2015, quelques heures avant qu’il ne présente aux législateurs argentins la preuve que la présidente de l’époque, Cristina Fernandez de Kirchner, a dissimulé le rôle de l’Iran dans l’attaque contre le centre AMIA de Buenos Aires qui a fait 85 morts et des centaines de blessés.

Sa mort a d’abord été considérée comme un suicide probable.  En novembre, le procureur spécial Eduargo Taiano, enquêtant sur la mort de Nisman, avait demandé qu’elle fasse l’objet d’une enquête en tant que meurtre, après avoir analysé un rapport produit en septembre par des enquêteurs médico-légaux de la police des frontières du pays, ou gendarmerie. Taiano a demandé à interroger Lagomarsino en tant que participant à un plan d’assassinat. Selon le procureur, Lagomarsino a fourni l’arme qui a servi à préparer un faux scénario de suicide.

En janvier 2015, Lagomarsino a déclaré qu’il s’était rendu à l’appartement de Nisman pour lui donner un «très vieux» pistolet de calibre .22 pour se protéger après que Nisman eut exprimé sa crainte d’être pris pour cible par des partisans de Kirchner. Quelques heures plus tard, Nisman a été retrouvé mort par une balle tirée à bout portant au-dessus de son oreille droite. Jusqu’à présent, Lagomarsino n’a été accusé que d’avoir prêté le pistolet à Nisman.  Le procureur a également demandé une enquête sur les gardes de police qui s’occupaient de la sécurité de Nisman. Quatre membres de l’équipe de 10 gardes ont été accusés de non-accomplissement de leurs devoirs.

Plus tôt ce mois-ci, un juge argentin a appelé à l’arrestation de Kirchner pour avoir prétendument dissimulé l’implication iranienne dans l’attentat de 1994. Le juge Claudio Bonadio a accusé Kirchner de crime de trahison alors qu’il demandait aux législateurs de retirer l’immunité de poursuites dont elle bénéficie en tant que sénatrice.  Le procureur Eduardo Taiano a déclaré que le juge avait également ordonné l’arrestation de l’ancien assistant de Kirchner Carlos Zanni et de l’activiste Luis D’Elia pour les mêmes accusations. L’ancien ministre des Affaires étrangères Hector Timerman a été assigné à résidence en raison de problèmes de santé.  L’ancien président est accusé d’avoir signé un accord avec Téhéran pour permettre aux responsables iraniens soupçonnés d’avoir ordonné l’attaque du centre juif d’être auditionnés par des magistrats argentins à Téhéran plutôt qu’à Buenos Aires.  Elle a précédemment qualifié l’affaire d' »absurdité ».

Kirchner fait face à un procès dans plusieurs autres affaires de corruption et de blanchiment d’argent découlant de ses années en tant que présidente.

https://www.timesofisrael.com/argentine-court-rules-alberto-nismans-death-a-murder/

https://www.liberation.fr/planete/2018/06/02/argentine-le-procureur-nisman-a-bien-ete-assassine_1656124/

https://www.europe1.fr/international/argentine-un-rapport-conclut-a-lassassinat-du-procureur-nisman-3444185

https://www.la-croix.com/Monde/En-Iran-nouveau-ministre-linterieur-recherche-Interpol-2021-08-12-1201170540

https://www.iranfocus.com/fr/iran/iran-gral/7297-iran-qui-est-ahmad-vahidi-ministre-de-la-dnse-proposar-ahmadinejad/

https://www.newyorker.com/magazine/2015/07/20/death-of-a-prosecutor

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