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Mal radical et psychologie des gens malades

ImageMal radical Peut être une image de 2 personnes et texte«Asila» est un rassemblement de malchanceux qui reproduit le mal de régime d’un système totalitaire religieuxImageLes méchants sont-ils bêtes ? Pourquoi sont-ils particulièrement sujets au mal ? Quelle est la source terrible de cette humiliation pleine de cruauté et de brutalité ?ImageEmmanuel Kant et Hannah Arendt y ont pensé. Pour Hannah Arendt, Adolf Eichmann est un symbole de « la vulgarité du mal ». En tant qu’assistant de Himmler, Eichmann était l’une des principales figures du système nazi de transport des Juifs à travers l’Europe vers les camps de la mort. La mission principale d’Eichmann était d’enquêter sur le plan de « solution finale de la question juive ». La « solution finale » d’Eichmann s’est manifestée dans les crématoires. L’Holocauste est la rupture de l’humanité et l’effondrement de la civilisation. En ce sens, l’Holocauste n’ouvre pas un espace pour le pardon. Les méchants des gens bêtes qui ne peuvent pas être pardonnés.Peut être une image de 2 personnes et texteHannah Arendt croyait qu’Eichmann n’était pas un monstre effrayant, il était incapable de voir les choses du point de vue d’une autre personne en raison de son manque d’empathie. C’était un être humain pauvre, captif des relations actuelles et obéissant aux règles et aux stéréotypes. Cette terrible pauvreté humaine le réduit à un élément inférieur dont l’action conduit au mal prodigieux de l’Holocauste. Selon ce penseur allemand du XXe siècle, Eichmann est « indescriptiblement obscène, dégoûtant et répugnant. Ce « simple employé » manquait d’introspection morale et était terriblement « orienté vers le devoir ». Bien sûr, Hannah Arendt ne veut pas disculper l’acte criminel d’Eichmann. Eichmann manquait de cette force ou de ce sentiment humain qui pourrait aider à comprendre la douleur et la souffrance de la victime. Cette force est le sens commun ou « jugement rationnel ».ImagePour Emmanuel Kant, la stupidité ne signifie pas le manque d’éducation ou le manque de connaissances. Il considère ce manque de connaissances comme un manque de « jugement ». Un grand mal ou un mal radical se produit lorsqu’une personne qui manque de jugement (bon sens) est assise dans une position de prise de décision et veut prendre de grandes décisions. Lorsque le sujet de la décision est la vie humaine, il y a une possibilité de mal radical.Peut être une image de 1 personne et texteL’ère du règne de la charriât Islamique : malaise lié à l’histoire du « grand mal » dans notre sociétéPeut être une image de 1 personne, barbe et bicepsLa stupidité d’Eichmann a conduit à un tel comportement cruel. Ces sortes d’«êtres » obscurs ne sont pas quelque chose de profonds. Eux seuls, avec leur enfance, sont susceptibles de se transformer en terribles criminels. L’agent d’un système totalitaire est un bureaucrate obéissant et impuissant qui manque de toute sorte de créativité et de sens de l’humanité. Ces chiens soumis sont très superficiels et tremblants, leur caractéristique évidente est leur arrogance et leur incompréhension. Dans ce processus, nous sommes confrontés à l’échec de la « force de jugement » humain ; «Le pouvoir de jugement» comme vertu humaine la plus remarquable. Il n’y a pas loin du refus de penser et de l’absence de «jugement individuel» à l’obéissance aveugle et à la soumission imitative dans un système totalitaire et à la participation à la répression et à la violation de la justice.ImageLe résumé des propos d’Hannah Arendt sur la « banalité du mal » est le suivant : « Ce qui rend l’histoire d’Eichmann troublante, c’est qu’il était un homme ordinaire et que beaucoup lui ressemblaient. C’est le visage de la « vulgarité du mal », car elle peut se répéter à tout moment. Les humains « ordinaires », sous couvert de « devoir », nous confrontent à un terrible mal. L’hypocrisie est une couverture appropriée pour ce mal. La tyrannie religieuse offre un terrain plus propice à l’émergence du plus mal, c’est-à-dire l’hypocrisie et le machiavélisme.ImageOù est «l’origine du mal» ? Selon Kant, le «mal radical» fait référence à la racine et à la nature interne du mal. Et son origine remonte à la liberté fondamentale de l’homme, dans le choix de sa propre action. Cela signifie choisir entre le bien ou le mal. Il n’est plus possible de parler hypocritement de «faire le devoir». Un choix a été fait ici. Être mal radical signifie ici que le mal n’est pas une catégorie individuelle, mais plutôt un problème humain qui s’oppose au «principe du bien». Le «principe de bonté» est la condition la plus fondamentale pour la réalisation de l’humanité. Ici, la liberté de la volonté humaine est comprise. Que la volonté est inclinée vers le bien ou vers le mal. L’homme avec son libre arbitre peut contribuer à la réalisation du bien ou du mal. Selon Albert Camus, « l’honneur est important ici. »Image« La vérité est que le marché est plein de clowns » (Nietzsche)

Le prix de ces « clowns » est également très bas, qui sucent comme des mouches venimeuses une blessure sanglante.

 Mal radical et psychologie des gens maladesPeut être une image de 1 personneIran. Les effroyables exécutions de deux jeunes manifestants en Iran. Pourquoi ?

Exécution de Mohsen Shekari et Majid Reza Rahnavard par les bourreaux de Khamenei Peut être une image de 1 personne, écran et télévision« Nous jurons par le sang de nos amis, nous tiendrons jusqu’à la fin » (Slogan dans la rue en Iran)

Les déclarations ne suffisent pas. Il faut fermer les ambassades de ce régime, mettre sur la liste noire son ministère du Renseignement et les gardiens de révolution (« pasdarans »).ImageTraiter avec le régime en Iran qui est la honte de l’humanité contemporaine, bafoue les valeurs des droits humains

L’exécution de Mohsen Shekari, 23 ans, prisonnier du soulèvement en Iran, sur ordre de Khamenei, trahit le désarroi du régime face à la perspective d’un renversement. Ce grand crime attise la colère des insurgés, notamment à Téhéran, qui ne le laisseront pas sans réponse

Majid-Reza Rahnavard a été exécuté en public 3 semaines à peine après son arrestation et des tortures sauvages. L’ONU, le Conseil de sécurité, l’UE & ses Etats membres doivent prendre des mesures efficaces pour mettre fin à la torture, aux exécutions et aux meurtres en IranImageIl est temps de faire tomber le pouvoir répressif en Iran et il est temps d’édifier un pays sur la base du respect des droits humains, et cela se fera.

Il faut que l’ONU, l’UE et les défenseurs des droits humains condamnent fermement l’exécution de Mohsen Shekari, 23 ans, et de Majid–Reza Rahnavard et prennent des mesures efficaces contre le régime en Iran pour stopper les exécutions. Silence & inaction violent les valeurs des droits humains

Les échanges, négociations et relations politiques et diplomatiques avec le régime d’exécutions et de tueries en Iran n’ont aucune justification. Il faut fermer ses ambassades et expulser ses diplomates et ses agents de renseignement et ceux du corps des gardiens de révolution (pasdarans).Peut être une image de 2 personnes, barbe et texte

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