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Deuxième partie – Les principes de l’évolution – Chapitre 4 : 1er principe de l’évolution Complexité

Minutieusement, la béatitude inonde l’âme, qu’il faut abriter et nourrir dans cet océan de misère humaine

Deuxième partie – Les principes de l’évolution

La base de toute approche de l’auto-transformation est une prise de conscience sans cesse croissante de la réalité et la perte d’illusions.

«Être homme, c’est précisément être responsable, c’est sentir, en posant sa pierre, que l’on contribue à bâtir le monde.» Antoine de Saint-Exupéry

Il est parfois possible d’empêcher une armée d’avancer, mais il est impossible d’empêcher un afflux de pensées et d’idées !

« L’homme connaît le monde dans la mesure où il se connaît : sa profondeur se dévoile à lui dans la mesure où il s’étonne lui-même de sa propre complexité. » Friedrich Nietzsche

Les hommes préfèrent croire qu’ils sont des anges dégénérés plutôt que des singes élevés.Head silhouette with gear brain evolution concept vector illustration. Face profile with evolving gear mechanism brain, blue, orange dna molecule helix and big sign evolution on tech background Stock Vector Image &Chapitre 4 : 1er principe de l’évolution Complexité

Transition permanente de la matière du plus simple vers le plus complexe avec des propriétés nouvelles.
L’Univers est en constante évolution et évolue sans interruption. Il nous fascine. Quoi de plus fascinant qu’un mystère ? L’évolution du cosmos est un processus régulier, ascendant, rythmé, successif et progressif, dont la vitesse progresse à chaque étape plus rapide que l’étape précédente. L’évolution de la matière et, en d’autres termes, l’évolution du mouvement et de la déformation de la matière, a suivi une voie simple vers la complexité ; et la science découvre que par les lois de l’histoire évolutive de la matière, les lois naturelles régissent le mouvement du vivant et du non vivant. Où sommes-nous dans ce vaste Univers ?
Si tout était connu, la science perdrait son charme. Nous nous approchons de nouveaux mystères.

L’ordre le plus fondamental et le plus dominant de l’univers est le principe de l’évolution. À la suite d’une série de changements quantitatifs, dans chaque phénomène, arrive une position qui transforme en changements qualitatifs. Ces changements s’appellent « mutations » qui se trouvent dans tous les processus de l’évolution.

Identifier correctement un phénomène, c’est-à-dire comprendre les mouvements et les changements apparents de ce phénomène aux causes intrinsèques de ces mouvements (contraintes internes) et en identifier les antagonismes principaux, et ses relations avec d’autres phénomènes et enfin les lois du mouvement.

Déterminer le phénomène, c’est en d’autres termes, trouver la forme particulière qui reprend les principes généraux d’identification dans chaque phénomène. Ainsi, nos connaissances par les sciences se suivent et se rejoignent logiquement. Nous savons depuis un certain temps que le soleil n’est pas la seule étoile entourée de planètes. Même si elles sont un phénomène courant dans l’Univers, les exo planètes ou planètes extrasolaires détectées à ce jour sont très différentes de la Terre. Les exo planètes que l’on a détectées sont très massives et donc constituées essentiellement d’hydrogène et d’hélium, comme 99,98% de la matière dans l’Univers.

Toute la cosmologie moderne est fondée sur la théorie de la relativité générale. En avons-nous assez pris conscience ? Les véritables révolutions scientifiques sont longues à s’imposer dans les esprits alors qu’elles dominent déjà dans les faits. Cela s’explique. Les scientifiques sont souvent aveuglés par l’habitude qu’installent immanquablement les succès répétés et attendus. L’explosion était certainement le commencement de notre univers qui a donné un sens au temps et à l’espace, autrement dit le temps et l’espace ont été définis par cet évènement.

Ensuite, dans les tempêtes et les mouvements permanents de la création des particules et des forces, il y a une direction et un objectif bien clair, malgré la création de phénomènes sans forme particulière et malgré des turbulences du début de notre univers. Durant des milliards années, l’évolution nous a conduits dans une direction et un lieu très étonnant et inimaginable, une planète, oui une planète bleue. Cette planète bleue tourne et tourne des milliers de fois comme si elle se moquait de l’obligation du temps.

Le concept de la notion simple vers la notion complexe peut également être décrit en détails. Ce concept aide à montrer le bénéfice que peut tirer l’analyse de l’activité d’une meilleure connaissance de la notion de régulation souvent mal définie. Le processus d’évolution est le processus continu d’amélioration de la qualité, le principe de la transition de changements quantitatifs à des changements qualitatifs, appelés mutations et le principe de transition de l’ancien vers le nouveau et enfin l’adaptation.

Complexité avec des propriétés nouvelles.Video | Formats | NORCEL | Network of Researchers on the Chemical Evolution of LifeLa complexité avec des propriétés nouvelles est un processus dynamique dans toutes les étapes de l’évolution. Cette complexité ne peut pas continuer jusqu’au l’infini, mais après une certaine limite quantitativement, elle change et elle sort de l’étape en mutation avec une nouvelle qualité. Plus l’objet est complexe, plus il comporte de composants et d’expansions. Il faut préciser que l’expansion, le progrès et l’élargissement sont non seulement quantitatifs, mais surtout qualitatifs.
Dans les sociétés humaines, ces changements dépendent entièrement de la volonté humaine.

L’évolution dans la phase de la biologie repose sur la théorie selon laquelle les êtres vivants sont issus les uns des autres selon le même processus que celui de l’évolution d’environ 14 milliards d’années. L’accumulation de preuves, comme les fossiles, à l’appui de cette théorie, évidemment non directement reproductible en laboratoire, du fait des échelles de temps qu’elle implique, a convaincu presque tous les penseurs d’aujourd’hui. Il ne reste plus guère que quelques fondamentalistes religieux, fanatiques et obscurantistes pour se payer encore le ridicule de refuser l’origine animale des êtres humains. Toutefois, si la théorie de l’évolution rend compte de cette origine, comment expliquer l’apparition, au fil des temps, d’êtres plus complexes que ceux qui existaient avant ? Qu’est-ce que qui permet l’émergence de cette complexité dont l’être humain participe ?IF MAROC - 2021  Joël de Rosnay (1937) dans son livre, Je cherche à comprendre, 2016, a précisé :
« Depuis le début du XX siècle, on sait, grâce aux travaux des scientifiques que la matière évolue du plus simple au plus complexe, et que de cette complexité émergent des propriétés nouvelles. L’aspect passionnant de ce processus dynamique et évolutif est le fait que la nature parvienne à faire apparaître des propriétés nouvelles à chaque seuil de développement tout en restant économe de ses moyens, pourrait-on dire-à chaque étape, obtenant des résultats nouveaux et de plus en plus diversifiés… Il est fondamental de comprendre le pourquoi et le comment de ces « mystères » de la nature. » (Pages 9-10) Ces « mystères » de la nature que Joël de Rosnay explique, sont considérés comme le premier principe du courant de l’évolution, tout simplement.Emerging Complexity in Physics How does Physical Complexity
On rappelle que les quatre étapes générales de l’évolution sont :
1 – L’évolution des minéraux
2 – L’évolution de la matière organique
3 – L’évolution biologique
4– L’évolution sociale

Complexité des minéraux et des matières organiques

À propos des atomes et des constructions des éléments simples : chaque élément devient la base d’un autre élément. Par exemple, le carbone de 12 nous amène vers l’oxygène de 16 et le néon de 20.
Les matières organiques combinent la chimie du carbone, le plus souvent, avec de l’hydrogène, fréquemment de l’azote. Quel est le rôle du carbone dans l’organisme ? Le carbone forme la charpente de toutes les molécules organiques composant les êtres vivants, en association avec l’oxygène, l’azote, le phosphate et l’hydrogène, notamment.
C’est grâce à la photosynthèse que le carbone présent dans l’air sous forme inorganique – le dioxyde de carbone (CO2, le fameux gaz à effet de serre) – est capté par les végétaux et transformé en matière organique. C’est cette forme organique qui permet aux animaux herbivores de fabriquer les sucres, les lipides et les protéines qui les constituent.
Ces chimies sont d’une complexité sans comparaison dans l’état actuel des connaissances humaines. La combinaison carbone plus hydrogène, à elle seule, représente un foisonnement inouï de molécules aux propriétés extrêmement variées.

Tout être vivant sur notre planète est fondamentalement constitué de composés hydrocarbonés, associés parfois à d’autres éléments. Cela donne une image de la variété et de la complexité dont il est question ici.
Partout, il y a de l’évolution : c’est inné dans le mouvement logique de la matière. Le plus simple élément, l’hydrogène, devient étape par étape, des hydrocarbures et des matières organiques plus lourds et plus complexes. Par la suite, on ne peut pas imaginer l’existence de la vie, sans passer par l’étape des matières organiques. Les êtres vivants sont apparus dans un processus très régulier, avec beaucoup de complexités des matières organiques comme essentiellement les acides aminés.

Complexité en biologie

La complexité du vivant est le principe le plus fondamental de la biologie. Les bases et la démarche opérationnelle en sont simples : la complexité des événements naturels ne serait qu’apparente ; des chaînes linéaires de causes et d’effets pourraient éclairer le réel sous réserve que l’on sache les déchiffrer.
Ces principes, appliqués à la biologie, ont conduit, depuis la découverte de la structure de l’ADN, à un nombre impressionnant de découvertes qui constituent l’ossature de la biologie moléculaire. La science classique est réductionniste dans son essence même : elle postule qu’il est possible de comprendre le biologique par la connaissance approfondie de la structure, de la fonction et du déterminisme génétique de certaines catégories de macromolécules biologiques (tels les protéines et les acides nucléiques). Pendant longtemps, la majorité des biologistes a admis qu’il était possible de réduire la complexité apparente des phénomènes biologiques à des structures et à des processus moléculaires plus simples. Les succès éclatants de la biologie moléculaire n’étaient-ils pas là pour témoigner de la valeur, de la cohérence interne, de la démarche analytique de la science classique ? L’examen du vivant, à la lueur des échanges d’informations, explique sa complexité.

Complexité de l’évolution sociale

C’est le même processus pour la société du monde actuel, plus complexe qu’au début de la société humaine : l’exploitation de l’homme par l’homme est plus complexe. La relation entre l’esclave et son maître ou même le paysan et le seigneur était plus simple et plus transparente que le système capitaliste.

Karl Marx, dans son œuvre, Le Capital, a résumé l’histoire humaine en quatre étapes, correspondant à des techniques et des modes de productions différents :
-La communauté primitive
-La société esclavagiste
-Le régime féodal
-Le régime capitaliste
Marx a découvert que la société humaine et l’évolution des sociétés ainsi que les phases précédentes, sont transformées l’une après l’autre.
Actuellement, les intérêts bancaires, les crédits, la société de consommation, la bourse et le système des impôts sont beaucoup plus discrets que l’exploitation d’un esclave par son maître, bien évidemment. L’exploitation est maintenant est devenue invisible. Enfin, la pauvreté et la maladie ne sont pas les choses les plus douloureuses, mais le pire de tout, c’est la cruauté des gens les uns envers les autres. La majorité des populations oublie qui est le responsable de la situation dans laquelle ils se retrouvent. La loi divine n’existe pas. Nous respirons dans l’ordre de ce monde terrestre et réel et nous devons chercher les obstacles principaux pour résoudre les problèmes de la société. Lorsque l’air est contaminé et pollué par l’oppression, la cruauté et l’injustice, il est de notre devoir de briser le verre pour respirer.

Les mutations et leur place dans l’évolution

Notre vision de la théorie de l’évolution, cependant, a elle-même bien évolué ces dernières décennies. Suivant la définition de « mutation », nous savons que le courant de l’évolution a effectué des milliards de mutations pour passer de la plus petite particule jusqu’à l’homme social.
En biologie, le mot « mutation » signifie l’apparition brusque, dans tout ou une partie des cellules d’un être vivant, d’un changement dans la structure de certains gènes, transmis aux générations suivantes si les gamètes sont affectés. Essentiellement, l’évolution biologique nous montre que les progrès considérables dans les métabolismes sont dus à des petits changements du métabolisme qui apparaissent dans chaque organisme.
Dans le domaine social, par exemple, la révolution Française était une mutation sociale très importante. La fin de système féodal et le début d’un nouveau système, le capitalisme.

Si on supprime la mutation et la révolution dans le processus de l’évolution, il ne reste plus rien qu’un petit changement. Le processus de l’évolution arrive donc grâce à la mutation et la révolution. On peut ainsi conclure que la révolution est la logique de l’évolution. Sans révolution, il n’existe aucune évolution. On peut même aller plus loin et dire que le processus de l’évolution est une révolution permanente.

Tout naturellement, on peut constater que le paysage de notre galaxie lisse et sans forme géométrique dès le début a pris une direction pour se former en permanence avec la complexité. Ce processus indispensable est le premier principe de l’évolution : transition permanente et mutation de l’ancien vers le nouveau avec la complexité.
Ces cas montrent qu’en règle générale, les phénomènes plus complexes sont toujours créés plus tard que les plus simples. Donc, en fait, ce principe est une vérité et ne fait pas de doute. Le mouvement qui a pris le plus long chemin du premier nuage, au cours des 14 milliards d’années passées, est devenu de plus en plus complexe et est perçu comme le détenteur de nouveautés, inédites et complètement différentes de celles d’avant, plus simples.
Il ne faut pas analyser avec une vision très simpliste comme Denis Diderot (1713 –1784) ou Auguste Comte (1798 –1857) et vouloir régler les problèmes de la société avec les principes de la physique et de la chimie. C’est une forme de ressemblance, similitude et comparaison purement mécanique et surement très dogmatique. Précisément, ce que je critique aussi dans l’approche religieuse traditionnelle, quelle que soit la religion, c’est le dogme, le rite qui enferme, les pratiques contraignantes et, souvent, le fanatisme.

Denis Diderot disait que « la société est comme un aimant avec un pôle négatif et un pôle positif. On ne peut pas la changer. »
Auguste Comte, fondateur du courant philosophique « le positivisme » aussi parlait que les éléments mécaniques (vis, écrous…) ont des valeurs s’ils sont à leur place dans une machine et en dehors de la machine, ces éléments n’ont aucune valeur. Auguste Comte comparait les gens pauvres à des vis.

Erreur de FreudY a-t-il plus de violences sexuelles aujourd'hui qu'avant ? - Information Violences Sexuelles - Prévention · Sensibilisation · Vidéos · OutilsSigmund Freud (1856-1939) est le fondateur d’une théorie de la psychologie, devenue depuis, la vision dominante de la psychologie au XXe siècle. Son système était globalement sans défaut.
Qu’est-ce que Freud a pensé ? Cela a commencé avec le problème de l’oubli : quand on oublie, où vont les souvenirs ? À cette époque, les mécanismes du système supérieur nerveux humain n’étaient pas encore connus très clairement.
Le système des symptômes secondaires et le cortex supérieur du cerveau, ses mécanismes et ses fonctions n’ont pas encore été identifiés. Freud est parti de là et a dit : « Quand on oublie, les souvenirs doivent aller quelque part. Où vont-ils ? Ils vont dans la cave de l’Esprit, un endroit appelé « l’inconscient ». L’inconscient a deux parties : la première partie signifie la nature inconsciente collective ou raciale, la deuxième partie signifie la nature inconsciente individuelle.

Selon Freud, les excitations et provocations sexuelles déterminent donc tous les comportements humains. L’inconscient collectif est la mémoire humaine de base de chaque être humain après la naissance, le processus de son développement psychologique, la répétition de ses souvenirs individuels.Information Violences Sexuelles · Prévention · Sensibilisation · Vidéos · OutilsCependant la conception freudienne propose l’idée que l’amour résulte de l’attirance sexuelle, plutôt qu’il n’est rien d’autre que la satisfaction sexuelle, réfléchie en un sentiment conscient. La chaîne causale procède essentiellement en sens inverse. Les théories de Freud ont été influencées par l’esprit du XIXe siècle ; en partie aussi, elles doivent leur popularité à la mentalité qui s’impose après la Première Guerre mondiale. Parmi les facteurs qui influencent à la fois les conceptions populaires et les conceptions freudiennes, révélons tout d’abord, la réaction contre la moralité stricte de l’époque victorienne. Un second facteur qui a marqué les théories freudiennes, c’est l’image dominante de l’homme, fondée sur la structure du capitalisme. Pour sa part, Freud aboutit à un résultat en avançant l’hypothèse que l’homme est poussé par un désir sans limites, le désir de conquérir sexuellement toutes les femmes – en bref, « l’homme est un animal sexuel » et que seule la pression de la société empêche. Il en résulte que les hommes sont fatalement jaloux et rivaux les uns des autres.
En fin de compte, la pensée de Freud a hérité du matérialisme mécanique qui régnait au XIXe siècle.
Freud croyait alors que le fond de tous les phénomènes mentaux était à découvrir dans les apparences physiologiques ; il conçoit l’amour, la haine, l’ambition, la jalousie comme autant de dérivés de l’instinct sexuel sous ses diverses formes, comme l’amour névrotique d’origine familial (« on le rencontre chez les hommes qui, dans leur développement émotionnel, sont restés ancrés dans un attachement infantile à la mère »). Tout se passe comme s’ils n’avaient jamais été sevrés.

L’amour névrotique apparaît fondamentalement lié au fait que l’un des « amoureux » ou les deux, devenu adulte, transfère sur la personne aimée les craintes, attentes et sentiments qu’il avait nourris jadis envers son père ou sa mère ; autrement dit, ne s’étant pas libéré d’un modèle de relation infantile, il continue à rechercher ce modèle dans les demandes affectives de sa vie adulte.

On parle ailleurs de l’erreur de Freud qui ne voit dans l’amour que l’expression – ou une sublimation – de l’instinct sexuel comme des animaux, plutôt que de reconnaître dans le désir sexuel une manifestation de besoin d’amour et d’union. Mais l’erreur de Freud va plus loin. Conformément à sa pensée du matérialisme mécanique, il considère l’instinct sexuel comme résultant d’une tension douloureuse, produite chimiquement à l’intérieur du corps, et qui vise à la décharge. Le but du désir sexuel est d’éliminer cette tension douloureuse : élimination dans laquelle réside la satisfaction sexuelle. En réalité, Freud avec sa version très simpliste, n’a vu que la partie commune des humains avec les animaux et il a étendu sa théorie.
Il est à noter que chaque étape et chaque phase de l’évolution a ses propres lois et règles. On ne peut pas généraliser ses éléments partout parce que cette généralisation va créer d’énormes problèmes. La complexité avec des propriétés nouvelles est un processus dynamique dans toutes les étapes de l’évolution. L’une des plus grandes erreurs du matérialisme mécanique du XVIIIe siècle au milieu du XXe siècle, auquel appartient Freud : universaliser les principes des étapes de l’évolution comme les lois de la physique – chimie et de la biologie sur la société humaine. Chaque idée, chaque pensée doit montrer ses fruits dans la pratique sociale réellement. La simplicité, l’imbécillité et la faiblesse qu’on peut nommer ignorance est pire que le crime.

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