Star de «Zorba le Grec», Irène Papas tire sa révérenceInoubliable dans Zorba le Grec et Les Canons de Navarone, Irène PapasLa star hellénique de « Zorba Le Grec » Elle laisse derrière elle un héritage autant cinématographique que théâtral avec un point commun : l’iconographie d’une Grèce antique qu’elle a toujours chérie et protégée.Irène Papas (née Lelekou), actrice grecque (Zorba le Grec ; Attila le Hun ; Les Canons de Navarone)Irène Papas, l’incarnation de la Grèce, s’est éteinteIrène Papas (1929-2022)La star hellénique de « Zorba Le Grec » est décédée à l’âge de 93 ans. Elle laisse derrière elle un héritage autant cinématographique que théâtral avec un point commun : l’iconographie d’une Grèce antique qu’elle a toujours chérie et protégée.La tragédienne mythique qui a su s’imposer hors de sa Grèce natale souffrait depuis près d’une décennie de la maladie d’Alzheimer. Elle s’est éteinte aujourd’hui comme l’a indiqué la ministre de la Culture en rendant hommage à la femme qui « personnifiait la beauté grecque à l’écran et sur scène ».L’essence de la GrècePour cette fille d’instituteurs qui suit des cours d’arts dramatique à Athènes, être actrice va lui permettre de faire rayonner son pays à l’international. Irène Papas connaît ses premières heures de gloire en jouant dans « Dead City », le premier film d’origine grecque à être présenté au Festival de Cannes en 1952.Antigone en 1961, Electre en 1962, Hélène dans « Les Troyennes » ou encore Clytemnestre dans « Iphigénie » une décennie plus tard, Irène Papas multiplie les adaptations cinématographiques des pièces qui l’ont conduite sur cette voie. C’est une évidence, l’actrice donne corps aux mythes de sa culture. Elle est consacrée comme une force de la nature dans ces rôles de grande tragédienne mais ce succès singulier lui restreint l’accès aux films les plus populaires d’Hollywood. Pour un temps du moins.Ce sont d’autres apparitions spectaculaires dans des productions américaines comme « Les Canons de Navarone » où elle incarne une fougueuse rebelle aux côtés de Gregory Peck et d’Anthony Quinn qui lui ouvrent enfin les portes de la gloire. Sans se départir de ce qui fait sa force et son charme, la jeune femme parvient à décrocher des rôles de femmes grecques sulfureuses et inoubliables. Des années plus tard, c’est une veuve froide et impressionnante qu’elle interprète dans « Zorba Le Grec » de son ami Michael Cacoyannis.Hollywood est enfin réceptif à ce que l’actrice peut apporter sur le devant de la scène et le lui rend bien. Costa-Gavras lui donne un rôle avec Yves Montand dans son thriller politique « Z » en 1969. Le film remporte un Oscar et marque un tournant dans la carrière de Papas, fière de participer à un projet si ambitieux et dénonciateur du fascisme grec. Car de ses débuts en tragédienne à ses productions internationales, Irène Papas n’a jamais perdu de vue la flamme qui l’anime. Engagée politiquement pour son paysOpposée au régime militaire de son pays, elle est contrainte à l’exil dès 1967, notamment en raison de son rapprochement avec certaines figures intellectuelles de gauche. Cela la conduit à vivre en Italie et aux Etats-Unis où elle continue de jouer, pour le théâtre notamment, emportant avec elle son amour nourri pour la Grèce. Elle ne pourra regagner son pays qu’à la fin du règne des « Colonels » en 1974.Ces années d’errance ne détournent pas l’actrice de ses convictions de gauche, elle qui s’engage dès l’après-guerre auprès du parti communiste grec. Détachée des jeux de pouvoir et du star-système, elle se retire progressivement du milieu, portant son intérêt sur des productions européennes comme « Le Message », une biographie de Mahomet qui sort en 1976. Elle joue également pour la télévision dans la superproduction « Odyssée » et poursuit une carrière dans la musique en collaborant avec le musicien grec Vangelis sur des albums de chant folklorique.Sa dernière apparition à l’écran en 2003 dans « Un Film Parlé » de Manoel De Oliveira, où elle incarne une actrice en croisière sur la Méditerranée, nous laisse une dernière image de ce qui a fait Irène Papas : un amour immense pour la civilisation européenne, une liberté farouchement défendue, et la peur de voir la politique et la religion détruire la culture.
Star de «Zorba le Grec», Irène Papas tire sa révérenceRetirée depuis plus de vingt ans, la comédienne, incarnation de la tragédienne antique, s’est éteinte ce mercredi dans le village où elle vivait.
Irene Papas est une actrice grecque et chanteuse occasionnelle, qui a joué dans plus de soixante-dix films au cours d’une carrière de plus de cinquante ans.
Irene Papas est née Irene Lelekou (Ειρήνη Λελέκου) à Chiliomodi, près de Corinthe, en Grèce. Elle a commencé sa carrière en Grèce, où elle a acquis une grande renommée, avant de jouer dans des films de renommée internationale tels que Les Canons de Navarone et Zorba le Grec, et dans des films acclamés par la critique tels que Z et Electra. Elle est une figure de proue des transcriptions cinématographiques de tragédies antiques puisqu’elle a incarné Hélène dans Les Troyennes, Clytemnestre dans Iphigénie (film) et les rôles homonymes d’Électre et Antigone. En 1977, elle a joué dans le film Mohammad, Messager de Dieu (également connu sous le nom de The Message) sur l’origine de l’Islam et le message du prophète Mohammad.
Elle est récemment apparue dans le film Captain Corelli’s Mandolin et travaille actuellement dans le théâtre au Portugal.
L’un des moments les plus inhabituels de la carrière de Papas s’est produit en 1970, lorsqu’elle a participé à l’album 666 du groupe de rock grec Aphrodite’s Child sur le morceau « ∞ » (infini). Elle scande « J’étais, je suis, je dois venir » à plusieurs reprises et sauvagement sur un accompagnement percussif. Le morceau a été considéré comme obscène par les dirigeants des maisons de disques et a entraîné la suspension de la sortie de l’album pendant deux ans par Polydor Records. Dès sa sortie en 1972, la chanson a provoqué un certain tollé en Grèce et a de nouveau été accusée d’obscénité et d’indécence par des personnalités religieuses grecques et les autorités gouvernementales.L’actrice grecque Irène Papas, star de «Zorba le Grec»Grande tragédienne et beauté grecque, l’actrice Irène Papas qui a tourné dans une soixantaine de filmsL’actrice grecque Irène Papas, célèbre pour ses fougueuses apparitions dans des films de renommée internationale comme Les Canons de Navarone et Zorba le Grec, est décédée à l’âge de 93 ans, a annoncé mercredi 14 septembre le ministère de la Culture grec.
Irène Papas « personnifiait la beauté grecque à l’écran et sur scène« , a estimé dans un communiqué la ministre de la Culture Lina Mendoni. Selon l’agence de presse étatique grecque ANA, Irène Papas est morte plus tôt dans la journée de mercredi. La cause de son décès n’était pas connue dans l’immédiat. La santé d’Irène Papas était fragile depuis quelque temps.
Une soixantaine de filmsL’une des actrices grecques les plus connues à l’étranger aux côtés de Mélina Mercouri, Irène Papas a joué dans une soixantaine de films durant sa carrière qui s’est étalée sur six décennies, et en particulier dans les adaptations de tragégies antiques (Antigone, Electre, Iphignénie…)
Née en 1929 près de Corinthe dans une famille d’instituteurs, Irène Papas avait percé sur la scène internationale avec Dead City, le premier film grec présenté au Festival de Cannes en 1952. Les canons de Navarone en 1961, dans lequel elle joue aux côtés de Gregory Peck et d’Anthony Quinn, dans le rôle d’une guérillera grecque au regard sombre, a été un rôle marquant dans sa carrière.Elle a ensuite tourné avec des cinéastes comme Costa Gavras (Z), Michel Cacoyannis (Zorba le Grec), Francesco Rosi (Le Christ s’est arrêté à Eboli), John Landis (Série noire pour une nuit blanche) et Manoel de Oliveira (Party, Inquiétude…) et elle a partagé l’affiche avec des comédiens de renom comme Richard Burton, Kirk Douglas, James Cagney et Jon Voigt. « Les acteurs ordinaires ont du mal à partager l’écran avec elle« , écrivait en 1969 le critique de cinéma Roger Ebert.En lutte contre la dictature
Engagée politiquement, en particulier contre la dictature des colonels en Grèce, Irène Papas est contrainte à l’exil (en Italie puis aux Etats-Unis) lorsque la junte militaire prend le pouvoir dans son pays en 1967, et y revient à la chute de la dictature en 1974. Membre du parti communiste grec, interdit jusqu’en 1974, elle était aussi proche du social-démocrate Andreas Papandréou, fondateur du parti PASOK.Irène Papas a reçu de nombreux prix, notamment celui de meilleure actrice en 1961 au Festival de Berlin et un Lion d’or à Venise en 2009 récompensant l’ensemble de sa carrière. Elle était populaire en Italie, où elle apparaissait régulièrement dans des films et séries télévisées y compris pour son dernier rôle en 2004.
Irène Papas : « La célébrité ne m’a rien apporté »
L’actrice grecque Irène Papas, qui s’est éteinte mercredi à l’âge de 93 ans, est devenue célèbre après ses apparitions remarquées dans des films de renommée internationale comme « Les Canons de Navarone » et « Zorba le Grec ».Irène Papas était l’une des actrices grecques les plus célèbres à l’étranger, ayant joué dans plus de 50 films pendant sa carrière, qui s’est étalée sur six décennies. A l’écran, elle a partagé l’affiche avec Richard Burton, Kirk Douglas, James Cagney et Jon Voigt notamment.
Née le 3 septembre 1929 dans un village du Péloponnèse, Chiliomodi, près de Corinthe, Irène Lelekou qui deviendra connue sous le nom de Papas, est issue d’une famille d’enseignants. Dotée d’une voix grave, d’un regard perçant et d’un visage sculpté comme sorti de l’Antiquité grecque, Irène Papas a commencé à jouer à l’âge de 15 ans dans des événements culturels locaux avant d’entrer à l’Académie nationale de théâtre à Athènes.En 1948, elle fait ses débuts dans le film grec « Anges perdus » et quatre ans plus tard commence sa carrière internationale avec « Ville morte », le premier film grec à être présenté au festival de Cannes. Les adaptations cinématographiques d’Antigone et d’Electre de Sophocle, où elle tient le rôle principal, confortent sa notoriété grandissante.En 1961 « Les Canons de Navarone » de J. Lee Thompson, dans lequel elle joue auprès de Gregory Peck, David Niven et Anthony Quinn, a été un des rôles les plus marquants de sa carrière. Elle aura de nouveau pour partenaire Anthony Quinn en 1964 dans le film « Zorba le Grec » de Michel Cacoyannis, une adaptation du roman homonyme de Nikos Kazantzakis.L’actrice était très appréciée en Italie
« J’ai quitté la Grèce pour découvrir où le meilleur jeu d’acteurs se trouvait. Je voulais apprendre. Je ne cherchais pas une carrière », avait-elle déclaré à la chaîne de télévision publique ERT en 2002.
En 1969, elle incarne la veuve de Grigoris Lambrakis, député grec de gauche assassiné, un des rôles clefs dans le film « Z » de Costa-Gavras, récompensé aux oscars.
En 2001, elle tient un petit rôle dans le film de guerre « Capitaine Corelli » de John Madden aux côtés de Nicolas Cage et Pénélope Cruz.Irène Papas a reçu de nombreux prix, notamment celui de meilleure actrice en 1961 au Festival de Berlin et un lion d’or à Venise récompensant l’ensemble de sa carrière. L’actrice était très appréciée en Italie, où elle apparaissait régulièrement dans des films et séries télévisées. Elle y a tenu son dernier rôle en 2004.
Chanteuse dans sa jeunesse, Irène Papas a collaboré dans les années 1970 et 1980 avec Vangelis, Demis Roussos et Mikis Theodorakis, qui a composé la musique du film « Zorba le Grec », devenue célèbre.
Irène Papas avouera durant sa carrière avoir eu du mal à concilier l’incarnation de ses personnages à l’écran et sa propre personne.Elle se disait « froussarde »
« La célébrité ne m’a rien apporté », avait-elle dit dans une interview au journal grec Eleftherotypia en 2003. « Au contraire, cela a détruit ma vie privée. Parce que la personne qui allait s’approcher de moi, disons sexuellement, était déjà tombée amoureuse de mon image ».
A l’opposé de ses personnages au caractère de feux à l’écran, Irène Papas disait d’elle-même qu’elle était « froussarde » et qu’elle s’était tournée vers le théâtre pour dépasser sa timidité.
En 2004, elle révéla avoir eu une longue histoire d’amour secrète avec Marlon Brando dans les années 50. « Nous avions une histoire d’amour. Appelons cela une longue relation », avait-elle raconté au journal italien Corriere della Sera.A 18 ans, elle s’était mariée à son professeur de théâtre Alkis Papas. Ils n’ont pas eu d’enfants et ont divorcé rapidement, mais elle a gardé le nom de son mari. « Avant je ne pouvais pas aimer ou élever (un enfant). Maintenant, j’aurais aimé en avoir un pour continuer à vivre », avait-elle confié à Eleftherotypia.
Durant les dernières années de sa vie, Irène Papas habitait près de l’Acropole, où sa nièce prenait soin d’elle alors qu’elle souffrait de la maladie d’Alzheimer.Inoubliable dans Zorba le Grec et Les Canons de Navarone, Irène Papas (1929-2022)DISPARITION – La grande tragédienne grecque s’est éteinte mercredi. Au cinéma, elle aura été la partenaire d’Anthony Quinn. La profondeur de son jeu lui aura permis de jouer les héroïnes antiques d’Euripide et d’Homère de façon incomparable.
Antigone, Electre, Hélène de Troie, Pénélope bien sûr… Irène Papas aura su incarner avec toute sa force de conviction et sa majestueuse beauté les légendes de la Grèce antique. L’immense tragédienne, née en 1926 tout près de Corinthe est morte mercredi à l’âge de 96 ans. L’annonce de sa disparition a été faite par le ministère de la Culture, qui ajoute dans son communiqué qu’elle «personnifiait la beauté grecque à l’écran et sur scène».
Les épopées modernes du septième art n’ont pas oublié non plus d’immortaliser le talent de l’actrice. Dans Les Canons de Navarone J. Lee Thompson lui confia le personnage de la farouche résistante Maria Pappadimos. Sous la direction de son mentor et ami Michael Cacoyannis, elle sera la veuve martyre dans Zorba le Grec. Costa-Gavras a fait d’elle la femme du député assassiné dans son film dénonciateur Z. Et à chaque fois le jeu dépouillé de cette comédienne, dont un seul regard énigmatique signait une scène, aura marqué le cinéma.
Réincarnation impeccable des personnages d’Euripide, de Sophocle, d’Homère, Irène Papas a aussi éclaboussé de ses qualités d’interprète les symphonies magiques et pop de Vangelis dans son premier groupe les Aphrodite’s Child puis un peu plus tard dans Odes, un recueil de chants traditionnels grecs. En 1980, de passages à Paris pour présenter cet album, elle dira avec une humilité non feinte, pourquoi elle s’était jetée dans cette aventure: « Mon grand-père était un collectionneur de chansons folkloriques. J’en connais moi-même des centaines par cœur. Avec Vangelis, nous ne faisons que faire revivre l’âme grecque et ses traditions.»
L’odyssée d’Irène Papas sur cette terre commence le 3 septembre 1926. Irini Lekelou naît sous de bons auspices : ses deux parents sont des professeurs et son grand-père est poète. Bon sang ne saurait mentir et à douze ans, sans nul doute incitée par les auteurs de ses jours, Irène intègre l’École royale d’art dramatique d’Athènes. Sous l’égide de Dimitris Rondiris, un continuateur doué du pionnier de la mise en scène moderne Max Reinhardt, la jeune élève s’initie au théâtre de Molière, au chant et à la danse. Sa formation générale n’est pas non plus négligée. Reposant sur une connaissance des humanités, elle lui permettra plus tard de maîtriser, outre le grec, le français, l’italien et l’anglais.
À vingt ans, avec autant d’atouts dans son carquois, Irène Papas, possède une tête bien faite et bellement faite. Mais par un curieux paradoxe, cette femme intelligente et splendide comme les statues de Phidias, fait parfois frémir les cinéastes et les metteurs en scène qui ne savent comment, dans un premier temps, faire exploser les talents de cette femme hypersensible. Après avoir été remarquée dans Théodora, impératrice de Byzance (1956) où elle campe Saïda, le monde entier la découvre dans La Loi de la Prairie de Robert Wise où elle côtoie le légendaire acteur américain James Cagney.Après quelques films importants comme Bouboulina de Kostas Andristos (1959) où elle se drape dans l’habit symbolique de Laskarina Bouboulina, l’héroïne de la guerre d’indépendance grecque, elle se mue en une farouche résistante grecque antinazie, Maria Pappadimos, dans Les Canons de Navarone de J. Lee Thompson. Dans ce triomphe cinématographique elle côtoie Gregory Peck, David Niven et surtout Anthony Quinn. Dans une scène du film Maria avouera, avec une pudeur sauvage digne de la déesse Athéna, au rude colonel Andrea Stavros campé par l’acteur américain, «qu’il lui plaît». Cet amour de cinéma se transformera en une belle amitié à la ville comme à la scène. Ils joueront trois fois ensemble à l’écran et notamment dans Zorba le Grec de Michael Cacoyannis où Irène Papas se fond dans le personnage tragique d’une veuve assassinée parce qu’elle refuse de se soumettre à la dure loi des hommes crétois.Devenue un mythe vivant plutôt qu’une star internationale à paillettes, la comédienne revient à ses premières amours, la tragédie grecque, souvent sous la direction de Cacoyannis, son compatriote et double artistique. Elle est d’abord une Pénélope à la beauté douloureuse, déchirante de noblesse, dans l’Odyssée de Franco Rossi (1969). Puis les rôles d’Hélène de Troie (Les Troyennes), de Clytemnestre (Iphigénie en 1977), toujours sous la direction de son mentor, lui permettent de revisiter le génie d’Euripide.Jamais lassée de découvrir de nouveaux horizons, Irène Papas, se lance à la fin de sa carrière dans un cinéma plus intellectuel. En 1983, elle n’a pas peur de se métamorphoser en une détestable grand-mère dans Erendira de Ruy Guerra une adaptation d’un roman de Gabriel Garcia Marquez. La rencontre de ces deux monstres sacrés fera avouer à l’actrice, telle une profession de foi enfouie, qu’elle aura été son credo artistique : « Gabriel est un magicien de la science-fiction intérieure. Mais au-delà de son imagination délirante, je l’aime, parce qu’il sait mêler cela à la réalité, comme j’ai toujours essayé modestement de le faire.»
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https://www.lefigaro.fr/cinema/irene-papas-la-mythique-actrice-grecque-est-morte-20220914