28 septembre 1891 – Herman Melville, auteur de Moby-Dick

Le 14 novembre 1851, Herman Melville publie «Moby-Dick» Herman Melville (1819-1891), l’un des écrivains les plus célèbres d’Amérique, est décédé.Herman Melville est né en 1819 dans une famille de la classe moyenne. Mais à l’âge de douze ans, il a perdu son père et est devenu responsable des dépenses des membres de sa famille. Il a commencé la voile à un jeune âge. Au cours des voyages, il se réfugie sur une île inconnue en raison du naufrage d’un navire et est capturé par les indigènes. Finalement, après deux mois, il s’enfuit et retourna aux États-Unis, où il devint célèbre pour avoir publié ses mémoires en 1843. Ses histoires sont accompagnées d’événements incroyables. Certaines de ses œuvres sont : Billy Budd, veste blanche (White-Jacket), homme confiant (The Confidence-Man) et Moby-Dick (baleine blanche).Le meilleur travail de Melville est Moby-Dick. Dans cette histoire, Melville dépeint la confrontation de la volonté humaine avec le puissant pouvoir de la nature. Presque oublié après sa mort, Melville est redécouvert dans les années 1920 à travers son œuvre maîtresse Moby Dick. Il est désormais considéré comme l’une des plus grandes figures de la littérature américaine. Moby Dick raconte l’histoire du Péquod, baleinier dont le capitaine se nomme Achab. Cet étrange marin est obsédé par une grande baleine blanche : Moby Dick. Le narrateur est un membre d’équipage nommé Ismaël qui dispose, tout comme Melville, d’une grande culture littéraire et y recourt fréquemment pour mettre en scène les membres de l’équipage et leur aventure. L’équipage du Péquod permet à Melville de multiplier les portraits et des analyses psychologiques ou sociales extrêmement fouillées et détaillées ; l’action se déroulant sur ce seul baleinier, l’œuvre a souvent été qualifiée par les critiques d’univers clos. Les descriptions de la chasse à la baleine, l’aventure elle-même et les réflexions du narrateur s’entrelacent dans une gigantesque trame où se mêlent des références à l’Histoire, à la littérature occidentale, à la mythologie, la philosophie et la science. La doctrine centrée sur l’Etat tout-puissant de Léviathan de Thomas Hobbes (1588 – 1679) est un exemple. Dans Moby-Dick, Melville raconte la lutte à mort entre le capitaine Achab et la terrible baleine blanche éponyme. Quels sont les motifs profonds qui poussent le vieux marin à traquer avec tant d’acharnement ce terrible Léviathan ? S’agit-il d’une simple vengeance ou est-il plutôt question d’accéder à un statut ontologique supérieur tout-puissant en mettant à bas le monstre ?

Écrivain américain né à New York auteur de Moby Dick ou la baleine blanche et de Billy Budd. Pratiquement oublié de tous à sa mort (il était alors douanier), son œuvre maîtresse Moby Dick a été redécouverte dans les années 20. Il est désormais considéré comme une des plus grandes figures de la littérature mondiale.

Le 14 novembre 1851, Herman Melville publie «Moby-Dick»

Moby-Dick est aujourd’hui considéré comme un grand classique de la littérature américaine et contient l’un des premiers vers les plus célèbres de la fiction : « Appelez-moi Ismaël ». Au départ, cependant, le livre sur le capitaine Achab et sa quête pour attraper une baleine blanche géante était un flop. Son auteur, Herman Melville est né à New York en 1819. Jeune homme, il a passé du temps dans la marine marchande, la marine américaine et sur un baleinier dans les mers du Sud. En 1846, il publie son premier roman, Typee, une aventure amoureuse basée sur ses expériences en Polynésie. Le livre fut un succès et une suite, Omoo, fut publiée en 1847. Trois autres romans suivirent, avec des résultats critiques et commerciaux mitigés. Le sixième livre de Melville, Moby-Dick, a été publié pour la première fois en octobre 1851 à Londres, en trois volumes intitulé The Whale, puis aux États-Unis un mois plus tard. Melville avait promis à son éditeur une histoire d’aventure similaire à ses œuvres antérieures populaires, mais à la place, Moby-Dick était une épopée tragique, influencée en partie par l’ami de Melville et Pittsfield, Massachusetts, voisin, Nathaniel Hawthorne, dont les romans incluent The Scarlet Letter.

Après l’accueil décevant de Moby-Dick, Melville a continué à produire des romans, des nouvelles (Bartleby) et de la poésie, mais l’écriture ne payait pas les factures. En 1865, il retourna à New York pour travailler comme inspecteur des douanes, poste qu’il occupa pendant 20 ans.  Melville mourut en 1891, largement oublié par le monde littéraire. Dans les années 1920, les universitaires avaient redécouvert son travail, en particulier Moby-Dick, qui allait devenir un incontournable des listes de lecture des lycées à travers les États-Unis. Billy Budd, le dernier roman de Melville, est publié en 1924, 33 ans après sa mort

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