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21 Août 1947 – Constructeur de voitures Ettore Bugatti

1:32 Diecast Car Model Bugatti Divo Metal Toy Wheels Sports Pull Back Car Sound Light Collection Kids Gifts Educational Learn - Railed/motor/cars/bicycles - AliExpressEttore Bugatti perfectionniste et inventeurBugatti cars: books - company history and models (1)A propos d’Ettore Arco Isidoro Bugatti (1881 – 1947), on peut réellement parler d’artiste automobile. Ce constructeur italien d’origine, établi en Alsace (allemande à l’époque) a marqué de ses voitures sportives et luxueuses l’âge d’or de l’automobile française des années 20 à 40.The Bugatti Baby 52: The ultimate luxury toy | Christie'sBugatti c’est aussi des chiffres : How many speak German? ~ 110 million people speak German ~120 million people secondary people speak German (study the language). Compared to 380 million. - ppt download– Plus de 1000 brevets mécaniques

– 37 records

– 10.000 victoires en coursesLe roadster ultime : la Bugatti W16 Mistral !Ettore Bugatti était né à Milan le 15 septembre 1881, dans une famille d’artistes francophiles. Ettore était petit-fils de Giovanni, architecte et sculpteur, fils de Carlo, ébèniste et frère de Rembrandt peintre et sculpteur. Cette culture artistique a rejailli sur toutes ses créations tout autant que son approche innovante modulaire des conceptions techniques.Bugatti on Twitter: "Happy Birthday to Ettore Bugatti, the first automotive marketing genius of the 20th century, who rightfully took pride in his products and achievements. #BUGATTI https://t.co/wBYrHzMieE" / TwitterTout jeune, de 1898 à 1909, il travailla pour ou avec plusieurs pionniers de l’automobile naissante (De Dietrich, Mathis…) et fit déjà montre d’une ingéniosité et d’une intelligence à trouver des solutions techniques.  Chez Deutz, il mit en œuvre des solutions techniques qui lui donnèrent l’idée de se mettre à son compte, ce qu’il fit en 1910. Il installa sa société à Molsheim, en Alsace qui était alors allemande et dans la région de Rhénanie, le centre industriel de l’Europe.

La marque de fabrique de Bugatti c’était la combinaison de la plus haute avance technique et de la plus grande simplicité avec une sensibilité artistique appliquée à tous les détails techniques. Ses créations étaient et sont encore considérées comme de l’art par tous et pas seulement par ses admirateurs.Amazon.fr - Haynes Bugatti Type 35 Owners' Workshop Manual: 1924 Onwards All Models - An Insight into the Design, Engineering, Maintenance and Operation of Bugatti's Iconic Pre-war Grand Prix Car - Parker, Chas - LivresDès 1910, il créa la première petite voiture sérieuse. C’était une voiture très légère et très performante d’une cylindrée de 1,35 litres sur quatre cylindres avec un arbre à cames en tête. En 1911, il conçoit une petite voiture populaire, la Type 19, dont il vend le brevet à Peugeot, ce sera la Peugeot BP1, plus connue sous le nom de Bébé Peugeot avec son moteur de 856 cm3. La Bébé Peugeot est la plus diffusée des créations Bugatti, c’est aussi réellement une minuscule voiture dont la caisse n’est pas plus grande qu’une baignoire.https://www.automobile-magazine.fr/asset/cms/840x394/198272/config/145988/bugatti-t35-b-encheres-bonhams.jpgLa Bébé Peugeot, la création Bugatti qui s’est le mieux vendue  Image

De 1912 à 1914 les succès de la compagnie augmentent, en particulier avec la Type 13, ou Brescia. En 1914, il mit sur le marché la première voiture à 16 soupapes de série.  Pendant la guerre, après avoir mis de côté outils, châssis et moteurs à Molsheim, il quitte l’Alsace et va à Paris où il travaille sur des moteurs d’avion. A la fin de la guerre, il retrouve des ateliers dévastés. Il va les reconstruire. C’est le début de l’âge d’or de la société avec les lignes de production des voitures de course, en particulier de la «Type 35». En dehors de l’automobile, à la même période, il dépose des brevets divers et variés. En dehors de l’approche artistique qu’il appliquait à l’ingénierie, son autre apport à l’industrie automobile a été le concept de la modularité.ImageLa modularité Image

Dès le début, toutes les Bugatti étaient construites non seulement en série, mais avec des pièces provenant de, ou pouvant être utilisées sur d’autres modèles de la marque. Ce simple fait justifierait à lui seul le qualificatif de génial à une époque où les voitures étaient des œuvres artisanales, construites à l’unité et à la main. Il sortit cet arbre à came en tête avec 3 soupapes par cylindre en configuration quatre ou huit cylindres. Le huit cylindres n’était ni plus ni moins que deux moteurs de quatre cylindres reliés à un carter commun. Les transmissions et essieux étaient interchangeables entre les modèles de production et les modèles de course. Avec un éclairage et des garde-boue ses voitures de course étaient des voitures de route.ImageLa mise en œuvre par Bugatti de principes d’ingénierie sur une plateforme commune était probablement une première mondiale et ceci fit le succès de son entreprise dans les années 20 et 30. Il a construit des voitures de sport et de course de manière industrielle et pouvait donc les offrir à un prix raisonnable. Même les modèles de Grand-Prix étaient construits selon un processus de série, et ils étaient malgré tout excellents.

La Bugatti Type 35 devint la voiture de course de référence, aussi bien pour sa construction légère et efficace que pour sa ligne pure, fonctionnelle et élégante. Cette voiture a gagné des centaines de courses (plus de 2000, record inégalé). Le dessin des roues à bâton en alliage léger de la Type 35 reste encore aujourd’hui la référence en matière de roues en alliage.Image

Bugatti et le luxe – Les Royale »  Los Bugatti Type 41 Royale | Excelencias del MotorMais ce qu’Ettore Bugatti n’a pas réussi c’est la transition entre la construction de voitures de sport et de course et celle de voitures de luxe. Il a construit des voitures sensationnelles, exceptionnelles mais chères, et cette activité a été un échec.

La classe des « Royale » (ou type 41), par exemple, de huit cylindres et 13 litres de cylindrée n’a pas trouvé sa clientèle avec seulement sept (7) exemplaires produits (dont un a posteriori par les frères Schlumpf). La Royale c’est 13 litres de cylindrée, 300 chevaux et 500.000 Francs. Entre 1929 et 1936 Bugatti sort la Type 46 ou « Petite Royale », à 500 exemplaires. Puis ce sont les Bugatti Type 49, Type 50 avec compresseur, double carburateur, deux soupapes par cylindre et Bugatti Type 55 conçues par Jean Bugatti et au moins aussi belles, fiables et avancées techniquement que les précédentes.Bugatti Type 35, Peinture par Cloder100 | ArtmajeurLes ennuis financiers liés à la crise de 1929 incitent Ettore à se diversifier en 1931 et ce sont des moteurs de “Royale”, groupés par quatre qui servirent à sortir la société de la faillite grâce à la construction de 80 autorails rapides (192 Km/h).  Les Bugatti Type 57 sortent en 1934. La Type 57 représente la voiture de luxe et de sport des années 30 et rencontre un succès certain (700 exemplaires) dans diverses configurations (berline Galibier, coupé Atalante, coach Ventoux, cabriolet Stelvio).

Bien sûr, Bugatti engage des voitures au Mans et remporte deux fois l’épreuve en 1937 (Wimille et Benoist) et 1939 (Wimille et Veyron).  Une voiture de course de 16 cylindres a aussi été construite qui n’a pas répondu aux attentes. Le moteur sera vendu aux USA à Duesenberg. Bugatti perdit toute flamme et génie créatif après la disparition de sa femme et de son fils Jean (tué à 30 ans, au volant du « Tank » lors d’un essai routier près de Molsheim) en 1939. La disparition de Jean a été le tournant essentiel de cette histoire.ImagePendant la guerre, l’usine de Molsheim a été réquisitionnée et obligée de produire des torpilles et des véhicules militaires pour l’armée allemande. Son emprisonnement après la guerre pour collaboration et les deux procès qui lui permirent de récupérer son usine finirent d’user Ettore Bugatti. A sa mort, à l’Hôpital Americain de Paris, le 21 août 1947 peu après le second procès, 7950 Bugatti étaient sorties de ses usines, mais il n’y avait plus personne pour animer la marque qui n’existait plus qu’en nom.  La marque Bugatti appartient actuellement à Volkswagen.Image

Des idées visionnaires

Il était clair dès ses premières années qu’Ettore Bugatti était un ingénieur né, si doué que même sans formation formelle, il pouvait maîtriser des conceptions complexes. Son père, Carlo Bugatti, a reconnu ses talents dans la réparation d’un tricycle motorisé, et a ensuite persuadé Ettore de suivre un apprentissage à l’usine Prinetti et Stucchi à l’âge de 16 ans.Bugatti Type 23 - 1922 | By the early 1930s Ettore Bugatti h… | FlickrLa croyance et la passion implacables d’Ettore pour l’automobile étaient bien avant son temps. Au tout début du XXe siècle, l’automobile est loin d’être un moyen de transport de masse établi et n’est pas non plus considérée comme une solution à long terme. Pour beaucoup, il était considéré comme étant réservé à la bourgeoisie européenne et surtout française de profiter de l’activité exclusive de l’époque : les courses. Mais l’avenir tiendrait une réalité très différente.

En travaillant chez De Dietrich, cette propension à développer des idées bien en avance sur son temps s’est affirmée. En 1903, il construit une voiture pour la course Paris-Madrid, plaçant le pilote et le mécanicien en bas du châssis, ce qui est le meilleur pour le centre de gravité et l’aérodynamisme. Cette solution révolutionnaire était si pionnière que la voiture n’était même pas autorisée à courir ; les organisateurs pensaient qu’être assis haut était la bonne conception.1930 Bugatti Type 52 children's car sells for $99,000 | Pedal cars, Toy pedal cars, BugattiEn 1907, alors qu’il travaillait officiellement comme chef de production pour le constructeur de moteurs Deutz, Ettore a continué à développer ses propres idées. Tout en créant pour son employeur des véhicules plus gros et plus lourds avec des moteurs de grande capacité, il construisait une voiture qui contredirait directement les tendances de l’époque : elle serait à la fois petite et légère.ImageEn 1909, le Type 10 ou « Pur Sang » (pur-sang) est achevé. Un moteur quatre cylindres de 1,2 litre avec 10 PS a accéléré le biplace – ne pesant que 365 kg – à une vitesse de pointe de 80 km/h. L’arbre à cames en tête actionnait deux soupapes par cylindre suspendues dans un bloc en fonte – une innovation de la propre pensée d’Ettore. L’arbre à cames était relié au vilebrequin via un arbre conique vertical, la puissance étant transmise du moteur aux roues arrière via un embrayage multidisque et un arbre de transmission – également très inhabituel à l’époque où la plupart des automobiles étaient équipées d’une transmission par chaîne.ImageEttore a été parmi les tout premiers à utiliser la course comme plate-forme pour démontrer la véritable grandeur de ses voitures en les présentant devant des foules de spectateurs encapsulés. Ses prouesses en ingénierie et sa passion pour la vitesse et la puissance transparaissent dans l’exécution de ses créations qui ont bouleversé ce que beaucoup croyaient être une formule gagnante. L’histoire montrera que cette philosophie durable a été adoptée par les rivaux de Bugatti, alors qu’eux aussi tentaient d’imiter Ettore en utilisant la course comme scène pour leurs propres automobiles.

Au Grand Prix de France de 1911, Bugatti a engagé une Type 10 modifiée – connue sous le nom de Type 13 – avec Ernest Friedrich au volant, faisant la queue contre des voitures qui pesaient presque deux fois plus, avec des moteurs presque trois fois plus gros. Mais la vision et la détermination d’Ettore ont prévalu, et sa création a terminé à une incroyable deuxième place.ImageDes chaussures à cinq doigts aux couverts spéciaux et au Bébé Bugatti – un petit voyage à travers la vie du fondateur de Bugatti.ImageUn produit technique n’est pas parfait tant qu’il n’est pas esthétiquement impeccable, a dit un jour Ettore Bugatti. Et le fondateur de l’entreprise a appliqué cette norme non seulement à ses propres automobiles, mais également à d’autres objets du quotidien. S’il n’était pas satisfait de quelque chose qu’il avait acheté, il l’améliorait souvent ou décidait d’en produire sa propre version. La petite sélection d’exemples suivante montre à quel point son talent inventif était vaste.

Le poulailler  Image

Ettore Bugatti aimait les pâtes plus que tout et les faisait toujours fraîchement préparées par un cuisinier italien. Pour cela, il avait besoin d’œufs de poule. Lorsqu’il sortit un jour en chercher, il revint furieux sans avoir acheté un seul œuf : les prix avaient encore augmenté. Il décide alors d’élever lui-même des poulets et de monter son propre petit élevage de poulets. Il a conçu le poulailler avec des roues pour pouvoir le déplacer sur son grand terrain. Bien sûr, l’investissement requis signifiait que les œufs étaient par la suite beaucoup plus chers que s’il les avait achetés individuellement. Mais au moins ils étaient frais et il ne dépendait plus des agriculteurs.

La machine à pâtes avec un volant  Image

Un jour, le cuisinier de Bugatti s’est plaint d’un dysfonctionnement de la machine à pâtes dans la cuisine. Il faudra plusieurs semaines avant qu’une nouvelle machine puisse être livrée en Alsace. Puisqu’Ettore Bugatti n’était pas sur le point de se passer de ses pâtes bien-aimées, il a conçu une nouvelle machine – une machine facile à utiliser, esthétiquement attrayante et capable de produire les meilleures pâtes partout. Les mécaniciens de son usine de production ont construit la machine sur la base de ses ébauches. Le design reflétait les racines automobiles de Bugatti : au lieu d’un volant ordinaire, un volant Bugatti Type 46 servait de manivelle pour faire fonctionner la machine et convertir la pâte en pâtes. La machine d’origine a été vendue aux enchères en mars chez Bonhams pour environ 37 500 dollars.

Orangerie pour son basilic  Image

Pour Ettore Bugatti, une bonne portion de pâtes nécessitait toujours deux à trois feuilles de basilic pour la garniture. Comme son basilic bien-aimé n’était pas fraîchement cultivé près de Molsheim, Ettore Bugatti a construit sa propre serre avec un système de ventilation spécial et basé sur une construction en acier remarquable. Cette orangerie existe toujours à ce jour. Bugatti y faisait pousser des fruits et d’autres plantes en plus du basilic.

Les couverts d’Ettore Bugatti  Image

Comme en témoigne le fait qu’il possédait son propre élevage de poulets et sa propre machine à pâtes, la bonne nourriture était très importante pour Ettore Bugatti. Il était irrité qu’il n’y ait pas de couverts spécifiques pour le cours intermédiaire d’un repas régulier, par exemple, alors il a décidé de concevoir et de développer ses propres couverts. Chaque article portait une crête « EB » et était ergonomiquement parfait à tenir. Il a également établi une méthode spécifique de dressage de la table avec couverts, assiettes et verres adaptée à ses besoins. Célèbre pour ses manières impeccables et attendant la même chose de ses invités, Bugatti aurait un jour refusé de vendre une voiture à un gentleman d’ascendance royale parce qu’il avait de mauvaises manières à table – il était tout simplement incapable de manger avec un couteau et une fourchette.

Bébé Bugatti Type 52  Image

Si vous voulez être un bon conducteur, vous ne pouvez pas commencer assez tôt. Pour offrir à son fils Roland à l’occasion de son cinquième anniversaire, Ettore Bugatti a conçu une version miniature à l’échelle 1:2 du Type 35 : le Type 52. Ce véhicule, baptisé « Bébé Bugatti », était propulsé par un moteur électrique et une prise 12 volts batterie et pouvait atteindre des vitesses allant jusqu’à 20 km/h. Le véhicule a servi à sa progéniture comme moyen de transport rapide dans le parc du château, mais il a également rapidement trouvé la faveur des visiteurs, des amis et des clients. La Bébé Bugatti est devenue très populaire et de nombreuses commandes ont été passées. Au total, Ettore Bugatti a produit plusieurs centaines de ces véhicules entre 1927 et 1930 – un succès retentissant. Le Bébé Bugatti a été récemment relancé par Junior Classics.

Les brevets d’Ettore Image

Ettore Bugatti a breveté environ un millier d’inventions au cours de sa vie. Tous ces brevets ne sont pas directement liés aux voitures comme la jante en aluminium, le pare-brise incassable, les sièges rabattables ultra-légers et les bouchons de remplissage automatiques. Sans oublier ses propres écrous et boulons hexagonaux, qui offraient une adhérence plus efficace et plus stable que les autres, même à grande vitesse. Ettore Bugatti s’intéresse également aux objets du quotidien et fait breveter ses nouvelles idées si elles sont prometteuses. Ceux-ci comprenaient un rasoir cylindrique, un cadre ultra-léger pour vélos et motos et des serrures de sécurité. L’ingénieux inventeur a même créé une canne à lancer pour les pêcheurs. Il a également conçu d’innombrables articles pour un usage quotidien pratique qui n’étaient pas brevetés : portails, portes, luminaires, fauteuils, étaux, instruments chirurgicaux, harnais pour chevaux et stores pour fenêtres.

Pur Sang Image

En plus de sa passion pour la technologie et l’automobile, Ettore Bugatti était particulièrement passionné par les chevaux – même s’il a en fait rendu inutiles les chevaux comme moyen de transport en produisant des voitures. En tant qu’expert des chevaux pur-sang, Ettore décrivait les voitures comme il le ferait avec des chevaux : au sang chaud, rapides et réduits à l’essentiel de la puissance musculaire – « le pur-sang du monde automobile ». Pour Bugatti, les chevaux ne sont pas avant tout un moyen de transport : ce sont de nobles créatures. ImageIl élevait des pur-sang qu’il gardait sur ses terres à Molsheim, dans la Remise Nord et la Remise Sud. Son amour pour les chevaux est allé si loin qu’il a fait remplacer certaines des portes de ses ateliers par des plaques de verrouillage spéciales qu’il a conçues lui-même et que les chevaux pouvaient ouvrir en appuyant leur nez contre eux. ImageCela signifiait qu’il n’avait plus besoin de descendre de cheval et d’ouvrir les portes lui-même avant d’entrer dans les ateliers, mais qu’il pouvait traverser facilement. Ettore Bugatti aimait aussi accueillir les visiteurs et les clients à cheval. Parfois, il était accompagné de son âne Totosche, qu’il a reçu en cadeau du comte Florio après avoir remporté la Targa Florio en 1929 pour la cinquième fois consécutive. L’animal chanceux a pu se déplacer librement dans le parc dans le cadre du zoo privé d’Ettore. Outre l’élevage de chevaux, Ettore Bugatti était également un éleveur passionné de terriers.

Les chaussures à cinq doigts d’Ettore  Image

Ettore Bugatti se promenait avec des chaussures à cinq doigts bien avant l’apparition des versions modernes de ces chaussures. Dans les années 1920, le pilote automobile Louis Charavel – qui se faisait généralement appeler « Sabipa » – se rendit chez Ettore Bugatti à Molsheim. Ce dernier portait un casque colonial, une veste en soie de couleur crème avec un ourlet bleu et des chaussures très particulières – comme des gants à doigts, ils avaient un renflement pour chaque orteil individuel. Pour Ettore Bugatti, c’était la chose la plus naturelle du monde et très confortable : « Après tout, on n’achète pas de mitaines si on veut des gants à doigts. ImagePourquoi n’en serait-il pas de même pour les chaussures ? demanda-t-il à son hôte étonné. Même s’il portait rarement ces chaussures, elles étaient bien sûr parfaitement fabriquées – comme toutes ses inventions.

Ettore Arco Isidoro Bugatti était un constructeur italien d’automobiles de course et de luxe. Peu de temps après avoir établi une usine à Molsheim, en Alsace, en 1909, il a produit un coureur de faible puissance très réussi pour Le Mans. La plus méticuleusement construite de ses voitures la Type 41, « Golden Bugatti » ou « La Royale » était l’une des voitures les plus chères, dont seulement six à huit ont été fabriquées. Son fils aîné, son héritier présumé, est décédé avant lui et la firme Bugatti n’a pas survécu longtemps après la mort d’Ettore Bugatti.Amazon.fr - Bugatti: Type 35 Grand Prix Car and Its Variants - Cole, Lance - Livres

https://www.auto-ies.com/blog/histoire-auto/bugatti-la-prestigieuse-marque-francaise

https://cultea.fr/bugatti-lavenir-du-celebre-constructeur-automobile-se-precise.html

https://www.bugatti.com/media/news/2021/the-genius-of-ettore-bugatti/

https://www.bugatti.com/media/news/2020/ettore-bugatti/

https://www.classic-sport-cars.net/spip.php?article85

https://todayinsci.com/8/8_21.htm#death

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