Le régime iranien a ordonné l’assassinat de Rafic HaririLes informations publiées par la résistance iranienne révèlent le rôle du régime iranien dans l’assassinat de Rafic Hariri, ancien Premier Ministre libanais. Les manifestations au Liban après l’explosion massive de Beyrouth soulignent la nécessité de faire barrage au terrorisme d’Etat du régime iranien.Le Hezbollah responsable de l’assassinat d’HaririLe 14 février 2005, Rafic Hariri (1944-2005), qui incarnait l’ère de la reconstruction au sortir de la guerre civile (1975-1990) est tué dans un attentat à Beyrouth, qui fait au total 22 morts et plus de 220 blessés. Un kamikaze a fait sauter une camionnette piégée au passage de son convoi blindé. Dans l’élégant quartier des hôtels du centre-ville de Beyrouth, la déflagration a provoqué des flammes hautes de plusieurs mètres, soufflant les vitres des bâtiments dans un rayon d’un demi-kilomètre. Au volant d’une fourgonnette blanche chargée de deux tonnes d’explosifs, le kamikaze s’était stratégiquement garé pour attendre le convoi, qui venait de quitter le Parlement pour se rendre à la résidence des Hariri. A 12H55, le détonateur est déclenché, une seconde après le passage du troisième véhicule, une Mercedes S600 que Rafic Hariri conduisait lui-même.Au bout de six ans de procès, le seul à avoir été reconnu coupable a été le principal suspect dans l’affaire, Salim Ayyash, 56 ans, condamné en son absence pour son rôle dans l’attentat-suicide à Beyrouth qui a fait 22 morts, dont le milliardaire sunnite Rafic Hariri, qui briguait un autre mandat à la tête du gouvernement libanais. L’assassinat de l’ancien Premier ministre a été « un acte politique perpétré par des personnes dont les activités étaient menacées par celles de Hariri », ont déclaré les juges lors de la lecture du verdict, à Leidschendam, près de La Haye, où siège le TSL.Le régime iranien a ordonné l’assassinat de Rafic HaririL’affaire de l’assassinat de Rafic Hariri Le Conseil national de la Résistance iranienne (CNRI) dans une déclaration suite à la décision du tribunal spécial des Nations Unies pour le Liban a écrit : « Il est tout à fait clair que l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri a été ordonné par Khamenei lui-même, planifié par Qassem Soleimani, et faisait partie du plan plus large des mollahs pour dominer complètement le Liban. ”
Le tribunal spécial de l’ONU pour le Liban a reconnu coupable de l’assassinat de Rafic Hariri un membre de l’organisation terroriste Hezbollah, fondée et soutenue par le régime iranien . Salim Ayyash, l’un des hauts responsables du Hezbollah , a été accusé d’avoir organisé et perpétré l’attaque. Le régime iranien a utilisé tous ses leviers diplomatiques, économiques et terroristes pour entraver le processus de ce tribunal et ses enquêtes, ainsi que pour dissimuler les preuves indéniables de son implication dans ce crime. Le régime a caché les suspects de ce massacre et a refusé de les remettre au tribunal pour enquête. De plus, lors d’une rencontre avec l’émir du Qatar le 22 novembre 2010, le guide suprême du régime iranien Ali Khamenei a menacé le tribunal. Il a déclaré: «Ce tribunal est un tribunal d’installation, et toute décision qu’il rendrait serait rejetée. Nous espérons que ceux qui sont influents et efficaces au Liban agiront avec sagesse afin que la question ne se transforme pas en problème. L’explosion de Beyrouth et ses conséquences pour le régime iranien Le monde a été choqué lorsqu’une explosion massive s’est produite la semaine dernière dans le port de Beyrouth. Peu de temps après, de grandes manifestations ont éclaté à Beyrouth, avec des manifestants en colère attaquant des bâtiments gouvernementaux et scandant « révolution ». Les manifestants dans leurs slogans ont ciblé les politiciens corrompus et en particulier l’organisation terroriste du Hezbollah. Ces protestations ont entraîné la démission du gouvernement et de son Premier ministre, Hassan Diab, qui était soutenu par le Hezbollah. Ces manifestations s’inscrivent dans la continuité des manifestations populaires au Liban au cours des 10 derniers mois. Ces manifestations ont commencé en octobre en raison de l’extrême pauvreté , d’une économie défaillante et de la corruption. Maintenant l’explosion à Beyrouth a augmenté le désir des gens d’atteindre la liberté et d’éliminer ceux qui dressent des obstacles sur cette voie, le plus important étant le Hezbollah. Ces protestations ont terrifié le régime. Le quotidien Keyhan, connu comme le porte-parole de Khamenei, dans son éditorial du 10 août, tout en blâmant les États-Unis et la France pour les manifestations au Liban, les qualifiant de « terrorisme » et décrivant les groupes terroristes par procuration du régime iranien comme un « mouvement de résistance », a écrit : « Il y a un point stratégique clé dans le traitement des ennemis tenaces du front de résistance. S’ils se battent face à face, ils doivent être repoussés. Mais s’ils recourent au terrorisme et au sabotage politique ou économique, la même méthode [complots terroristes] devrait être menée contre leur sécurité et leurs intérêts économiques. Le régime iranien utilise l’exportation du terrorisme comme moyen de survie et exporte le chaos intérieur à l’étranger. Le terrorisme est la partie innée de ce régime et ne finira jamais jusqu’à sa chute.
Par conséquent, maintenant, après les grandes manifestations au Liban, les horribles explosions et la récente décision de justice, il est nécessaire que la communauté internationale expulse le régime iranien du Liban et coupe les tentacules des gardiens de la révolution et de sa branche libanaise du pays.
« Haussement d’épaules » La mort de Rafic Hariri, dans laquelle quatre généraux libanais prosyriens ont été dans un premier temps accusés d’être impliqués, avait déclenché à l’époque une vague de manifestations, entraînant le retrait des troupes syriennes après près de 30 ans de présence au Liban. Au cours du procès, l’accusation a martelé que l’assassinat de Rafic Hariri « avait un but politique », arguant que le milliardaire sunnite « était perçu comme une grave menace par les prosyriens et pro-Hezbollah ». Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a affirmé vendredi 14 août 2021 au soir qu’il ne se sentira pas concerné par le verdict du Tribunal spécial pour le Liban (TSL). « Nous ne nous considérons pas concernés par les décisions du TSL », a déclaré le secrétaire du parti libanais pro-iranien dans un discours télévisé. « Pour nous, ce sera comme si la décision n’avait pas été annoncée », a-t-il ajouté. « Si nos frères sont condamnés injustement, comme nous nous y attendons, nous resterons attachés à leur innocence », a poursuivi Hassan Nasrallah, rappelant qu’il avait déjà par le passé rejeté à l’avance les décisions du TSL.
L’assassinat de Rafic Hariri
Dans un communiqué après la décision du tribunal spécial des Nations Unies pour le Liban, le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) a écrit : «Il est tout à fait clair que l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri a été ordonné par Khamenei en personne, planifié par Qassem Soleimani, et faisait partie d’un plan plus large des mollahs pour dominer le Liban. » Le tribunal spécial de l’ONU pour le Liban a déclaré qu’un membre de l’organisation terroriste du Hezbollah, fondée et soutenue par le régime iranien, était coupable de l’assassinat de Rafic Hariri. Salim Ayyash, un haut responsable du Hezbollah, a été accusé d’avoir organisé et mené l’attaque. Le régime iranien a utilisé tous ses leviers diplomatiques, économiques et terroristes pour entraver le processus de cet enquête et a tenté de dissimuler les preuves indéniables de son implication dans ce crime. Le régime a caché les suspects de ce massacre et a refusé de les remettre au tribunal pour enquête. En outre, lors d’une réunion avec l’émir du Qatar le 22 novembre 2010, le guide suprême du régime iranien, Ali Khamenei, a menacé le tribunal. Il a déclaré : «Cette cour est une mise en scène, et toute les décisions qu’elle rendra seront rejetées. Nous espérons que ceux qui, au Liban, sont influents et efficaces, agiront avec sagesse afin que la question ne devienne pas un problème. »
L’explosion de Beyrouth et ses conséquences pour le régime iranienLe monde a été choqué lorsqu’une explosion massive s’est produite début août dans le port de Beyrouth. Peu de temps après, d’importantes manifestations ont éclaté à Beyrouth, avec des manifestants en colère qui scandaient «révolution». Les manifestants dans leurs slogans ont visé des politiciens corrompus et en particulier l’organisation terroriste du Hezbollah. Cela a conduit à la démission du gouvernement et de son Premier ministre, Hassan Diab, qui était soutenu par le Hezbollah. Ces manifestations s’inscrivent dans la continuité des manifestations populaires au Liban au cours des 10 derniers mois. Elles ont commencé en octobre en raison de l’extrême pauvreté, d’une économie défaillante et de la corruption.
L’explosion à Beyrouth a accru le désir de liberté de la population de parvenir à écarter ceux qui mettent des obstacles sur cette voie, surtout le Hezbollah. Ces manifestations ont terrifié le régime iranien. Le quotidien Keyhan, connu pour être le porte-parole de Khamenei, a menacé les opposants à sa mainmise sur le Liban et a écrit dans son éditorial du 10 août : « Il y a un point stratégique clé dans la manière d’affronter les ennemis obstinés du front de la résistance. S’ils se battent face à face, ils doivent être repoussés. Mais s’ils recourent au terrorisme et au sabotage politique ou économique, la même méthode [les complots terroristes] devrait être menée contre leurs intérêts sécuritaires et économiques. » Le régime iranien utilise l’exportation du terrorisme comme moyen de survie et de l’instabilité dans la région. Le terrorisme fait partie intrinsèque de ce régime et ne cessera pas avant sa chute définitive par la révolution du peuple iranien. Après les grandes manifestations au Liban, les explosions horribles et la récente décision de justice, il est nécessaire plus que jamais pour la communauté mondiale d’évincer le régime iranien du Liban et de couper les tentacules des Gardiens de la révolution et de sa branche libanaise dans le pays. Rapport : L’Iran a ordonné l’assassinat de Hariri Des sources affirment que le tribunal de l’ONU présentera des preuves montrant que le meurtre de l’ancien Premier ministre libanais a été commis par la force iranienne Quds et le Hezbollah sur ordre de Khamenei. « Ils le considéraient comme un agent saoudien », a déclaré une source
Des sources proches de l’enquête sur l’assassinat de Rafic Hariri en 2005 ont déclaré à Newsmax que le Tribunal spécial des Nations Unies pour le Liban accuserait le guide suprême iranien, l’ayatollah Khamenei, d’avoir donné l’ordre d’assassiner l’ancien Premier ministre libanais, selon le site libanais Naharnet. Les sources ont déclaré à Newsmax, un site d’information américain, que le tribunal présentera des preuves montrant que le meurtre a été commis par la force iranienne Quds et le Hezbollah .L’ordre d’assassiner Hariri a été transmis à Imad Mughniyeh, le commandant en chef du Hezbollah à l’époque, par le chef de la force Quds Qassem Suleymani, ont déclaré à Newsmax des sources proches de l’enquête. Les sources ont déclaré que Mughniyeh et son beau-frère, Mustapha Badr al-Dine, avaient formé l’équipe de frappe qui avait perpétré l’attaque. « Les Iraniens considéraient Hariri comme un agent de l’Arabie saoudite et pensaient que le tuer ouvrirait la voie à une prise de contrôle du Hezbollah au Liban », a déclaré l’une des sources. Selon les sources, le président syrien Bashar al-Assad et son beau-frère, Assef Shawkat, le chef des services de renseignement syriens, ont également joué un rôle clé dans le complot d’assassinat.Il y a quelques jours, le Hezbollah a renversé le gouvernement de Saad Hariri, fils de l’ancien premier ministre assassiné. Saad Hariri est rentré au Liban vendredi après avoir visité les États-Unis et la France. Dans sa première réaction publique à l’effondrement du gouvernement mercredi, Hariri a déclaré qu’il soutiendrait les efforts du président Michel Suleiman pour former un nouveau gouvernement, mais n’a pas précisé s’il serait candidat pour le diriger. « Il n’y a pas d’alternative au dialogue pour nous tous, et aucune partie au Liban ne pourra éliminer l’autre », a déclaré Hariri après des entretiens avec Suleiman au bureau du président.Hariri a décrit la démission de 11 ministres, qui a fait tomber son gouvernement, comme une décision « sans précédent » dans la politique libanaise. Son gouvernement a été renversé par une rupture avec le Hezbollah au sujet des inculpations attendues par le tribunal soutenu par l’ONU enquêtant sur l’assassinat de 2005. Le Hezbollah, qui est soutenu par l’Iran et la Syrie, s’attend à ce que le tribunal accuse ses membres pour le meurtre de 2005. Il a nié toute implication et a appelé le Liban à retirer tout soutien au tribunal. Le groupe chiite a laissé entendre qu’il prendrait le contrôle du Liban si ses membres étaient inculpés.