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1 Avril 1976 – La fondation d’Apple Computers, Apple sortait du garage

Il y a 40 ans voyait le jour le premier ordinateur d'Apple, l'étrange Apple ISteve Jobs, Apple et MacintoshKush zotëron Apple. Vdes themeluesi i AppleOrdinateur personnel Apple MacintoshAucune description de photo disponible.Eh oui ! C’est bien dans le garage de sa famille adoptive, les Jobs, que Steve l’orphelin a bricolé son premier ordinateur avec Steve Wozniak, l’ami rencontré lors d’un stage d’été chez Hewlett-Packard. Pourquoi Apple ? Parce que Steve Jobs est végétarien et qu’il avait travaillé pendant ses études dans un verger de pommiers. Macintosh est aussi une variété de pommes. Apple Computers, Inc. a été fondée le 1er avril 1976 par Steve Jobs (1955-2011) et Steve Wozniak (1950), décrocheurs universitaires, qui ont apporté à la nouvelle société une vision de changer la façon dont les gens percevaient les ordinateurs. Jobs et Wozniak voulaient rendre les ordinateurs suffisamment petits pour que les gens puissent les avoir chez eux ou au bureau. En termes simples, ils voulaient un ordinateur convivial.7. Steve Jobs, Apple et Macintosh | Les EchosJobs et Wozniak ont commencé à construire l’Apple I dans le garage de Jobs et les ont vendus sans moniteur, clavier ou boîtier (qu’ils ont décidé d’ajouter en 1977). L’Apple II a révolutionné l’industrie informatique avec l’introduction des tout premiers graphiques couleur.1 Les ventes sont passées de 7,8 millions de dollars en 1978 à 117 millions de dollars en 1980, l’année où Apple est devenue publique.Apple : tout savoir sur la marque à la pommeWozniak a quitté Apple en 1983 en raison d’un intérêt décroissant pour le fonctionnement quotidien d’Apple Computers. Jobs a ensuite engagé John Sculley de Pepsi Co comme président. Cependant, cette décision s’est retournée contre lui et après de nombreuses controverses avec Sculley, Jobs est parti en 1985 et est passé à de nouvelles choses plus importantes. Il a fondé sa propre société NeXT Software et il a également acheté Pixar à George Lucas, qui deviendra plus tard un énorme succès dans l’animation par ordinateur de films tels que Toy Story, A Bug’s Life, Monsters, Inc. et Finding Nemo.Steve Wozniak casse le mythe des débuts d'Apple dans un garagePendant le reste des années 1980, Apple se portait toujours bien et en 1990, elle affichait ses bénéfices les plus élevés à ce jour. Cependant, cela était principalement dû aux plans que Jobs avait déjà mis en place avant son départ, notamment son accord avec une petite entreprise du nom d’Adobe, créateur du format de document portable Adobe (PDF). Ensemble, les deux sociétés ont créé le phénomène connu sous le nom de publication assistée par ordinateur.

En 1985, Sculley a rejeté un appel du fondateur de Microsoft, Bill Gates, pour obtenir une licence pour son logiciel. Cette décision reviendrait plus tard le hanter car Microsoft, dont le système d’exploitation Windows (OS) présentait une interface graphique similaire à celle d’Apple, est devenu leur plus rude concurrent à la fin des années 1980 et tout au long des années 1990.

Au cours de quelques années, la part de marché d’Apple a lentement souffert après son apogée en 1990 et en 1996, les experts pensaient que l’entreprise était condamnée. Ce n’est qu’en 1997, alors qu’Apple avait désespérément besoin d’un système d’exploitation, qu’elle racheta NeXT Software (la société de Jobs) et que le conseil d’administration décida de demander l’aide d’un vieil ami : Steve Jobs. Jobs est devenu PDG par intérim, ou iCEO comme il se faisait appeler (Jobs n’a été officiellement PDG qu’en 2000). Jobs a décidé de faire quelques changements autour d’Apple. Il a forgé une alliance avec Microsoft pour créer une version Mac de son logiciel de bureau populaire. Peu de temps après cette décision a été le tournant pour l’entreprise. Jobs a réorganisé les ordinateurs et introduit l’iBook (un ordinateur portable personnel) suivi de l’iPod, un lecteur mp3, qui est devenu le leader du marché.Ces cinq choses que Steve Jobs a changé dans nos viesL’iPhone, un téléphone cellulaire à écran tactile, introduit en 2007 a été l’un des produits les plus populaires au monde et la société a lancé plusieurs nouvelles versions depuis. Les autres produits populaires incluent la tablette iPad et l’Apple Watch. Plus récemment, Apple a élargi ses segments de services avec sa carte de crédit (Apple Card), Apple News pour les actualités, Apple Arcade pour les jeux et l’Apple TV+ pour la diffusion en continu de contenus originaux produits par Apple. Steve Jobs est décédé le 5 octobre 2011, mais Apple continue son héritage avec Tim Cook à la barre en tant que PDG. La popularité des iPhones a fait d’Apple la première entreprise évaluée à mille milliards de dollars en 2018 et deux ans plus tard, elle a doublé ce chiffre.L'histoire du premier ordinateur AppleEmoi dans le monde de l’informatique ! En 1997, confronté à des pertes abyssales, Apple annonce le retour de Steve Jobs, son fondateur, comme président par intérim de la société après une absence de douze années. A quarante-deux ans, « l’enfant terrible de l’informatique » s’est assagi, troquant sa Porsche rutilante pour une Jeep Cherokee et affirmant haut et fort son amour pour sa femme Laurene et ses trois enfants. Il est vrai que l’homme a tout pour être heureux. Après son éviction brutale de la firme à la pomme, en 1985, Steve Jobs a entamé une deuxième carrière en fondant la société NeXT, spécialisée dans la mise au point de systèmes d’exploitation informatique, puis en rachetant le studio d’animation Pixar, aussitôt introduit en Bourse. Une opération qui lui a tout de même rapporté la bagatelle de 1 milliard de dollars ! Riche, devenu la coqueluche des médias américains à la suite du succès triomphal de Toy Story, un dessin animé entièrement réalisé en images de synthèse, Steve Jobs peut dès lors se permettre le luxe de demander à Apple, pour prix du sauvetage de l’entreprise, un salaire annuel symbolique de 1 dollar par an. Eclatante revanche pour ce génie de l’informatique et des affaires sur lequel personne n’aurait parié 1 cent quelques années plus tôt encore.

Si Steve Jobs figure aujourd’hui en bonne place parmi les icônes américains, ce n’est cependant pas pour avoir relancé l’industrie du dessin animé mais pour avoir popularisé l’ordinateur personnel. Paternité un peu abusive au demeurant. Lorsqu’en 1976 Steve Jobs et son copain Steve Wozniak créent dans le garage familial des Jobs l’Apple I et fondent leur compagnie, cela fait trois ans en effet que la firme Xerox, spécialisée dans la fabrication de photocopieurs, a mis au point l’Alto, premier ordinateur individuel doté d’une souris. Hors de prix _ les composants coûtent plus de 10.000 dollars _, cet engin n’a cependant jamais été commercialisé.10 Revolutionary Apple Products That Cost Frikkin' Too Much | Most Searched Products - Times of IndiaDans la foulée, un technicien de l’US Air Force, Edwards Roberts, a créé en 1975 l’Altair _ du nom d’une planète de la série télévisée Star Trek _, un ordinateur compact en kit et sans logiciel qui sera vendu à une poignée de passionnés. A défaut d’avoir inventé l’ordinateur personnel, Steve Jobs est toutefois le premier à avoir mis l’informatique à la portée de tous et à avoir fait de cet objet avant-gardiste bourré de tubes et de composants qu’est l’ordinateur un objet de grande consommation. Avec lui, le « micro » fait son entrée dans l’univers quotidien de tout un chacun, au même titre que la radio, la télévision ou la Hi-Fi, contribuant à bouleverser le mode de vie et les conditions de travail de millions de gens.Garage Apple — WikipédiaLa vie de Steve Jobs est en tout point conforme au mythe américain du « self made man » : enfance modeste mais heureuse, études courtes, passion pour le travail manuel et, pour finir, la création d’une société dans un coin de garage. Le futur fondateur d’Apple naît le 24 février 1955. Orphelin, il est adopté très jeune par Paul et Clara Jobs. Le jeune garçon coule une enfance heureuse près de San Francisco, où sa famille adoptive a élu domicile. Machiniste chez un fabricant de lasers, son père lui transmet le virus de l’électronique, sur laquelle Steve Jobs devait plus tard bâtir sa fortune. Avec lui, il passe des heures entières à démonter et remonter tout ce qui lui tombe sous la main, acquérant peu à peu un immense savoir. Aucune description de photo disponible.Quant à sa mère, employée de bureau, elle lui apprend très tôt à lire et à écrire. Est-ce l’effet de cette éducation précoce ? Toujours est-il qu’à l’école, le petit Steve se révèle un élève dissipé et solitaire. Enfant difficile, il fera même deux séjours d’urgence à l’hôpital, la première fois pour avoir bu un flacon d’insecticide, la deuxième pour avoir introduit une broche dans une prise électrique. Il s’ennuie tellement à l’école qu’à l’âge de sept ans, il obtient de ses parents qu’ils l’inscrivent dans une école modèle située près de Palo Alto, la future Silicon Valley. Ne reculant devant aucun sacrifice, Paul et Clara Jobs acceptent même de déménager afin de ne pas s’éloigner de leur fils !40 ans d'Apple : au-delà du mythe | la revue des médiasL’histoire veut que ce soit précisément à Palo Alto, lors d’une visite scolaire au siège social de Hewlett-Packard en 1969, que le destin de Steve Jobs ait basculé. Quelques jours après cette visite, fasciné par tout ce qu’il a vu, le jeune homme _ il a alors quatorze ans _ prend le parti d’appeler directement au téléphone William Hewlett. Contre toute attente, l’industriel accepte de passer vingt minutes avec l’adolescent avant de lui proposer un travail d’été au siège. C’est là qu’il fait la connaissance de Steve « Woz » Wozniak. De quatre ans son aîné, ce dernier partage la même passion que son cadet pour l’électronique. Liés par une profonde amitié, les deux compères passent désormais le plus clair de leur temps ensemble à parler d’informatique et à bricoler des appareils de leur invention. Tandis que Woz choisit de faire carrière chez Hewlett-Packard, Steve Jobs rejoint en 1974 la société Atari, spécialisée dans la réalisation de jeux vidéo. Quelques mois plus tard, avec l’argent ainsi gagné, il entreprend un long voyage en Inde afin de se préparer, dira-t-il plus tard, à « une vie contemplative ». La misère qu’il découvre sur place aura raison de sa vocation. Dans les premiers jours de l’année 1975, il est de retour aux Etats-Unis, bien décidé à faire quelque chose de sa vie.De “la mise en danger de la vie d'autrui” et autres littératures judiciaires - HIYA!A Palo Alto où il s’est installé chez ses parents, Steve Jobs fréquente désormais assidûment les séances du Homebrew Computer Club qui réunit quelques passionnés d’informatique et où il a retrouvé Steve Wozniak. A large, rectangular circuit board with mostly uniform chips arranged neatly in a grid. The rows are labeled A through D and the columns are numbered 1 to 18. Printed between rows of chips is the text, "Apple Computer 1", "Palo Alto, [California] Copyright 1976". There are three large cylindrical capacitors laying sideways in the corner. The board is sprinkled with small components including ceramic resistors and jumper wires.Le lancement de l’Altair par Ed Roberts le convainc qu’il est temps de faire quelque chose. Pourquoi ne pas concevoir un ordinateur personnel qui puisse être utilisé par tout le monde et bâtir autour de cette machine une nouvelle industrie ? demande Steve Jobs à son complice. L’idée est dans l’air et semble prometteuse. A ce moment de l’histoire de l’informatique, il est en effet quasiment impossible à un simple particulier de posséder son propre ordinateur. Question de coûts et d’encombrement. D’ailleurs, on ne trouve pas d’ordinateur dans le commerce. Les machines s’achètent sur catalogue et intéressent en priorité les entreprises et les administrations. Ceux qui, malgré tout, souhaiteraient avoir un ordinateur doivent pouvoir le monter eux-mêmes à partir de composants disparates et écrire leur propre programme ! C’est ce système que Steve Jobs ambitionne de mettre bas. A ses yeux, l’informatique a vocation à toucher le plus grand nombre comme ce fut le cas par le passé du téléphone, de la télévision ou de la radio.Dans le courant de l’année 1975, afin de réunir les fonds nécessaires pour mettre au point la machine de leur rêve, Steve Jobs vend son minibus Volkswagen et Steve Wozniak l’ordinateur qu’il s’est construit lui-même. Les 1.300 dollars ainsi récupérés leur permettent de mener à bien leur projet. Installés dans le garage des Jobs, les deux hommes travaillent pendant près de six mois. Le 1er avril 1976, enfin, leur ordinateur personnel, l’Apple I, est prêt. Le nom a été trouvé par Steve Jobs en souvenir d’un verger de pommiers où il avait travaillé par le passé. Ce micro reprend la plupart des innovations testées en leur temps par l’équipe Xerox : présentation de l’environnement de bureau avec l’icône, affichage de plusieurs documents, images graphiques, langage de programmation orienté vers la visualisation et, bien sûr, utilisation d’une souris. Mais le véritable atout de l’Apple I réside dans le faible coût de ses composants. Grâce à l’arrivée sur le marché du nouveau microprocesseur 6502 vendu 20 dollars, Steve Jobs et Steve Wozniak sont en mesure de vendre leur ordinateur au prix défiant toute concurrence de 666,66 dollars _ un montant choisi par Steve Jobs en raison du caractère magique attribué à ces chiffres. Faible encombrement, faible coût, simplicité d’utilisation et convivialité : dès le départ, les bases du succès d’Apple sont jetées. Car le succès est immédiat, foudroyant même. La première année, plus de 1.000 exemplaires de l’Apple I sont vendus en Californie, signe que l’ordinateur personnel répond à une véritable demande. L’année suivante, l’Apple II, premier ordinateur personnel avec une interface graphique en couleur fait largement mieux : 50.000 exemplaires vendus en un an malgré un prix plus élevé (1.298 dollars). La marque à la pomme devient si populaire qu’une multitude de programmeurs indépendants prennent l’initiative, avec la bénédiction de Steve Jobs et de Steve Wozniak, de créer des applications exclusivement dédiées à Apple : 15.000 rien que pour l’Apple II ! Elles contribuent à une diffusion toujours plus large de l’ordinateur personnel dans le public. Elles sont également à l’origine de la lutte légendaire entre les deux univers Mac et PC.Ces Mac vendus sans Mac OS | Le journal du lapinA la fin de l’année 1980, malgré l’échec cinglant de l’Apple III, sorti quelques mois plus tôt et victime dès le départ de défauts de conception, la compagnie Apple, installée désormais à Cupertino, une petite ville située à une heure de route de San Francisco, pèse plus de 1 milliard de dollars de chiffre d’affaires. En décembre de cette année-là, la firme s’introduit en Bourse. L’opération est un véritable jackpot pour Steve Jobs, qui encaisse du jour au lendemain pas moins de 239 millions de dollars ! A vingt-cinq ans, c’est un homme comblé et immensément riche qui roule en Porsche noire et habite une immense maison à Los Gatos, à quelques kilomètres de Cupertino. Steve Jobs n’a cependant pas totalement rompu avec son passé hippie. Végétarien, il dort sur une natte et n’utilise jamais de chaise, préférant s’asseoir à même le sol, dans la position du lotus. Chez lui, pas de meuble ni de tableau au mur, à l’exception d’un portrait d’Albert Einstein. Son bureau personnel ne compte en tout et pour tout qu’un ordinateur Apple II et une lampe, l’un et l’autre posés sur le plancher. Ce côté atypique se reflète jusque dans la firme qu’il a créée. A Cupertino, les employés bénéficient de conditions de travail exceptionnelles : ambiance très détendue _ on travaille en jeans et baskets _ congés sabbatiques de six semaines rémunérés offerts tous les cinq ans, salaires généreux, stock-options distribuées en masse… Dans la vie professionnelle aussi, Steve Jobs veut imposer un style qui lui est propre. Un style anticonformiste, très « bricoleur de génie » qui se veut l’exact opposé du style « costumes trois pièces » en vigueur chez IBM.Apple fête ses 40 ans : de la naissance à la transformation en géant - ZDNetEn janvier 1984, Steve Jobs prépare activement le lancement du Macintosh _ du nom de la variété de pomme préférée de son concepteur, Jeff Raschin. Cet ordinateur personnel, le fondateur d’Apple est persuadé de pouvoir en vendre 750.000 exemplaires en une seule année. L’entreprise, de fait, n’a pas lésiné sur les innovations : pour lancer le logiciel, il suffit de cliquer sur l’icône à l’aide de la souris. Une véritable révolution qui doit permettre à la firme de Cupertino de creuser définitivement la distance avec sa rivale IBM. undefinedPour ce lancement très spécial, Steve Jobs a fait appel à un poids lourd du management, John Squeley, ancien patron du marketing de Pepsi-Cola, nommé directeur général. Soutenu par une énorme campagne de publicité, le lancement du Macintosh est un échec cinglant : 20.000 exemplaires vendus seulement le premier mois, contre 80.000 attendus. Trop cher pour les particuliers !

Au siège d’Apple, l’ambiance devient particulièrement délétère. Décidé à prendre le pouvoir, John Squeley travaille les administrateurs d’Apple pour obtenir le licenciement de Steve Jobs et de Steve Wozniak. La crise éclate en septembre 1985, à l’occasion d’une séance du conseil d’administration, lorsque Steve Jobs met en demeure ce dernier de choisir entre lui et son directeur général. Les yeux rivés sur le compte d’exploitation de l’entreprise qui ne cesse de se dégrader, les administrateurs donnent raison à John Squeley. Steve Jobs démissionne aussitôt avant de vendre la totalité de ses actions _ sauf une _ pour 100 millions de dollars. Steve Wozniak fait de même dans les heures qui suivent.Top 5 New Apple Products Worth Looking Forward to in 2020 - ESR BlogDe son propre aveu, Steve Jobs va vivre des mois très difficiles. Tandis que « Woz » choisit d’enseigner l’informatique à des enfants, l’ancien hippie devenu milliardaire se laisse aller, voyageant beaucoup, passant des journées entières à marcher, seul, sur les plages de Californie. Ce n’est qu’en 1986 qu’il se décide enfin à tourner définitivement la page. Son nouveau défi s’appelle NeXT. L’idée : concevoir et vendre, pour 3.000 dollars, des ordinateurs dédiés aux universités. Si elle est un succès technologique, l’aventure est un échec commercial qui coûte à son fondateur 250 millions de dollars. Steve Jobs a en revanche la main plus heureuse avec Pixar, racheté à Georges Lucas.Le 1er avril 1976, Apple sortait du garage - Le PointLe retour de l’enfant terrible de l’informatique à la tête d’Apple, en 1997, sonne incontestablement comme une revanche pour celui qui n’a pas oublié l’humiliation de 1985. Rappelé en catastrophe par le PDG de la firme à la pomme, Gil Amelio, pour l’aider à sauver une entreprise qui prend l’eau de toutes parts, Steve Jobs se garde bien, dans un premier temps, de s’impliquer dans la gestion quotidienne. A green circuit board with six chips in a row. There are two phone jacks in the top-left corner. A gold edge connector runs along the bottom of the board.Au passage, il revend à Apple, pour plus de 350 millions de dollars, sa société NeXT. Nommé conseiller du président, c’est lui qui est à l’origine du lancement de la gamme iMac qui marque le retour de la marque à la pomme sur le marché de l’informatique personnelle. Au début de l’année 2000, fort de ce succès, Steve Jobs accepte de mettre un terme à son contrat de conseiller spécial pour redevenir le patron à part entière d’Apple. A l’heure où les ventes stagnent, l’entreprise de Cupertino, malgré le rapprochement avec Amazon.com et ses ambitions dans la musique en ligne, a encore beaucoup à faire pour rattraper son retard sur ses concurrents. C’est une troisième vie qui s’ouvre pour Steve Jobs.

Ordinateur personnel Apple MacintoshPremier ordinateur grand public à utiliser une interface utilisateur graphique, l’Apple Macintosh a été lancé en janvier 1984 avec une publicité télévisée bien en vue pendant le Superbowl et au prix de 2 500 $.  Il a été fabriqué avec différentes mises à niveau jusqu’en 1986.

https://www.lepoint.fr/high-tech-internet/le-1er-avril-1976-apple-sortait-du-garage-01-04-2016-2029361_47.php

https://guides.loc.gov/this-month-in-business-history/april/apple-computers-founded

https://www.lesechos.fr/2003/08/7-steve-jobs-apple-et-macintosh-1058829

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