Premier saut en parachute – Garnerin and ParachutesAndré-Jacques Garnerin (31 janvier 1769 – 18 août 1823)
Aéronaute français qui a été la première personne à perfectionner le parachute et a effectué un certain nombre de sauts réussis à des altitudes plus élevées que celles qui avaient été tentées auparavant.Au cours de la première Révolution française, des ascensions ont été fréquemment effectuées pour célébrer de grands événements nationaux. En effet, la nouvelle Constitution de la République française a été magnifiquement proclamée au soleil et aux nuages depuis un ballon à 12 000 pieds d’altitude. André Jacques Garnerin (né en 1769), le plus célèbre des aéronautes de cette époque, fut élève de la classe physique de M. Charles. Il n’avait que dix-neuf ans environ lorsqu’il tenta sa première fortune dans les airs. Sa première expérience fut faite à Metz en 1787. Il fit une ascension heureuse avec une dame de Turmerman, et descendit à une distance de neuf milles. En 1790, il partit avec une simple montgolfière des jardins de Ruggieri. Il paraît qu’il avait tenté des ascensions captives au Luxembourg avec un ballon à air, et que c’est en partie le succès de ses expériences qui a conduit à l’organisation du corps d’aéronautes militaires, dont nous avons rendu compte de la fortune. Mais l’aéronaute accompli fut envoyé en mission politique qui l’empêcha de participer aux travaux de ce corps.Le frère aîné de Garnerin avait rendu quelques services au gouvernement, et fut récompensé en recevant la nomination de commissaire aux armées françaises. Le jeune Garnerin fut bientôt envoyé en mission similaire. La division de l’armée que le jeune Garnerin avait été envoyée inspecter était dans une position des plus précaires, et peu après son arrivée fut vaincue (1793), et Garnerin tomba au pouvoir des Anglais. Ce dernier le livra aux Autrichiens, par lesquels il fut emprisonné dans la forteresse de Buda, en Hongrie, où il fut détenu pendant environ deux ans.De retour en France, il se remit à l’aéronautique et s’associa à son frère pour faire de grandes expériences publiques. Afin de garantir l’intérêt du public, il a fait des ascensions nocturnes dans lesquelles il portait une lampe pour éclairer son ballon. Garnerin déclare dans ses mémoires qu’en prison, il a pensé à utiliser le parachute pour s’évader. Garnerin et son frère aîné se disputèrent ensuite âprement l’honneur d’inventer cet appareil dont Blanchard, on l’a vu, se servait des années auparavant. Garnerin, cependant, a été le premier être humain, pour autant que les récits authentiques aillent, qui a fait la première descente en parachute. La première expérience publique devait avoir lieu le 15 juin 1797, dans le jardin de l’hôtel Byron, aujourd’hui couvent du Sacré-Cœur. Le ballon dans lequel Garnerin devait monter était prêt, et il était sur le point de monter dans la voiture, lorsqu’une rafale de vent déchira le ballon en lambeaux. Les spectateurs s’indignent et les aérostiers doivent prendre la fuite pour échapper à la fureur du public. Un des spectateurs accusa les deux frères d’escroquerie et de lui extorquer son argent sous de faux prétextes, et c’est avec quelque peine qu’ils obtinrent leur liberté sous caution. Trois jours plus tard, le jeune Garnerin fit une descente en parachute dans les Jardins de Tivoli.Garnerin fit son expérience du parachute de la manière la plus théâtrale et dans des conditions bien propres à produire une sensation profonde. Il avait conçu un mécanisme par lequel le ballon était déchiré pendant que la corde était coupée. Soutenu par son parachute, qui semble avoir été fixé au ballon à la place de la voiture, l’audacieux aéronaute a atteint le sol en toute sécurité après la chute des restes du ballon. Dans la première expérience, le parachute oscilla de la manière la plus violente, et pour ne pas être projeté hors de la voiture, il dut s’y tenir de toutes ses forces. Jérôme de Lalande, le célèbre astronome, et qui s’opposa d’abord violemment au vol en ballon comme une impossibilité théorique, perçut que la cause de ces oscillations était que l’air comprimé par la descente du parachute ne pouvait s’échapper de manière régulière. Il conseilla donc de faire un trou au centre du parachute, afin que l’air puisse ainsi s’en échapper avec régularité. Cela a été fait par la suite, et par conséquent l’appareil, malgré sa taille immense, ressemblant à un parapluie gigantesque, est devenu parfaitement maniable.Après ces expériences préliminaires avec le parachute, Garnerin souhaite faire des ascensions en ballon en compagnie d’une dame, Mademoiselle Célestine Henry, mais il se heurte en cela à une opposition inattendue de la police. Ces derniers étaient soutenus par une partie de la faculté de médecine, qui soutenait que l’effet d’une ascension serait désastreux pour la constitution délicate d’une jeune femme. Il a fallu deux mois d’applications et d’explications incessantes pour que Mademoiselle Henry reçoive la permission d’accompagner Garnerin, et seulement après avoir été minutieusement interrogée et avoir reçu l’assurance solennelle qu’aucune influence secrète n’avait été utilisée, mais qu’elle désirait monter de son propre chef. sera. Dans cette difficulté, Garnerin reçut un soutien inattendu et généreux de Lalande, qui, quand enfin la jeune femme fut autorisée à faire l’ascension, la conduisit galamment jusqu’à la voiture à son bras. Garnerin a fait deux ascensions avec son brave compagnon. La première se termina près d’un village nommé Dugny, où Garnerin rencontra une difficulté tout à fait imprévue. Un fonctionnaire municipal a demandé un passeport aux voyageurs et, comme ils ne pouvaient se conformer à la demande, ils ont été arrêtés. Il fallut l’indignation et les menaces des personnes attirées par la descente du ballon pour contraindre ce fonctionnaire trop zélé à libérer ses deux captifs. Les journaux de l’époque ne pouvaient manquer de commenter cet incident grotesque. Le fonctionnaire, qui s’appelait Hennequin, était impitoyablement raillé. Il écrivit une lettre pour justifier sa conduite, dans laquelle il essayait de faire passer l’affaire en plaisantant. « Vous oubliez, monsieur le rédacteur, dit-il en effet, que les devoirs de ma charge m’obligent à arrêter les vagabonds, et que rien ne ressemble plus à un vagabond qu’une personne qui tombe des nues. Dès lors Garnerin prit la précaution d’être muni d’un passeport ; mais dans sa seconde descente il tomba entre les mains d’une personne qui ne savait pas lire, et par conséquent son passeport fut lettre morte.Au cours de l’année 1798 Garnerin fit de nombreuses ascensions de longue durée, tantôt seul, tantôt avec un compagnon. A chaque occasion, il avait soin de noter la vitesse de son ballon et la direction qu’il suivait, afin de prouver qu’il pouvait porter des instructions aux armées beaucoup plus rapidement que n’importe quel système de télégraphie alors en usage. Ces voyages aériens de Garnerin n’étaient pas sans valeur au point de vue scientifique, car il emportait des vases remplis d’eau, qu’il vidait puis enfermait à une très grande hauteur dans le but d’emporter avec lui des échantillons d’air du plus haut Régions. Les premières analyses ont été faites par Humboldt, qui a constaté que la proportion d’oxygène avait diminué de 2 %.
Pendant ce temps, Blanchard, revenu d’Amérique, s’efforça de se faire remarquer. Il annonce son intention de traverser l’Atlantique au moyen d’une de ses fameuses flottilles aériennes. Il avait construit à cet effet une voiture qui, selon lui, ne coulerait pas, et dont il a été énormément annoncé et soufflé. Inutile de dire que ce vaste projet chimérique ne fut jamais exécuté. Au même moment, le vieil aéronaute revendiquait l’invention du parachute. Garnerin a vivement défendu son droit à l’invention. Blanchard résolut enfin de gagner les rieurs à son côté en imitant son rival, et en montrant que son parachute était aussi utile que celui de Garnerin pour descendre des nuages ; car Garnerin soutenait que son parachute était vraiment une invention nouvelle, celui de Blanchard n’étant utile qu’aux chats et aux chiens.C’est en juillet 1799 que cette expérience fut réalisée depuis les Jardins de Tivoli, sur le terrain aujourd’hui occupé par la Gare de l’Ouest. Il y avait des vents légers et pas très réguliers. Blanchard en profite pour traverser deux fois la Seine et effectuer de nombreux circuits à la vue du public, qui de tous les coins de Paris garde les yeux fixés sur le ballon. Lorsqu’il se trouva au-dessus du bois de Boulogne, il coupa la corde qui retenait son parachute, et descendit doucement, sans accident, dans un des magnifiques jardins qui ornaient alors cette partie des environs de Paris. Ce succès, bien sûr, n’a pas pu prouver la validité de ses prétentions, mais il lui a valu un honneur auquel il s’attendait peu. L’astronome Lalande accepta enfin la proposition faite douze ans auparavant et consentit à accompagner Blanchard en ballon.
Blanchard, ayant abandonné toute idée de direction mécanique, découvre un procédé beaucoup plus simple pour guider sa flottille aérienne. Il suffisait d’abaisser une sorte de voile agissant un peu comme une ancre mobile pour fixer en quelque sorte la route du navigateur aérien, et l’empêcher de quitter un courant favorable une fois qu’il l’avait trouvé. Rien de plus naïf que le raisonnement employé par le directeur de l’Observatoire de Paris, car tel était Lalande à cette époque, pour prouver qu’il pouvait trouver un vent qui le guiderait dans la direction qu’il choisirait. « Il est très probable, écrivait-il dans un article officiel publié dans le Moniteur, que la haute atmosphère est occupée par un courant venant de l’ouest ; par conséquent, nous pouvons présumer qu’avant d’atteindre cette hauteur, Blanchard atteindra un vent oblique venant d’environ W.S.W. C’était le vent que voulait suivre le directeur de l’Observatoire de Paris, car il avait l’intention de rendre visite à son collègue de Gotha.
Ce qui n’était pas moins étrange que la confiance de l’astronome français, c’était la sensation extraordinaire que produisit en Allemagne l’annonce de l’expérience. Aussi peu capables que leurs collègues français de s’apercevoir de l’absurdité d’une proposition des plus grotesques, les savants allemands accouraient de toutes parts à l’Observatoire où devait arriver l’aventurier Lalande. Les fonctionnaires de police de la principauté allemande s’agitaient. Ils s’inquiétaient de la propagande révolutionnaire que l’astronome de la République française, descendant du ciel comme un nouveau prophète, ne manquerait pas de faire. Mais tous leurs préparatifs se trouvèrent inutiles, car cette ascension, si pompeusement annoncée, ne dura que peu de minutes. Le ballon sur lequel tous les savants de l’Allemagne étaient prêts à fixer leurs télescopes, montait à Tivoli et descendait au bois de Boulogne. Aussitôt le bruit se répandit que Blanchard avait été corrompu par l’étranger. Si cela s’était produit au temps de Robespierre, qui avait en horreur les aéronautes comme tout bon terroriste, Blanchard aurait eu de belles chances d’être guillotiné.C’est le 21 octobre 1798, à cette époque de renouveau aéronautique, que Testu Brissy fait sa première ascension équestre à Bellevue. Il n’avait pas réussi sa première tentative le 7 janvier précédent. L’expérience n’a pas été faite de la même manière qu’à notre époque, où les chevaux ont été attachés sans ménagement sous la voiture au moyen de sangles. Testu Brissy prit la peine de placer son cheval sur une plate-forme de bois, et monta sur son dos armé bonnet-à-pie comme un chevalier du moyen âge. L’ascension est plutôt désagréable, le cheval devenant un objet un peu gênant à abattre, mais l’aéronaute ne subit aucun accident.Testu Brissy, dans sa première ascension, a établi un fait physiologique très intéressant. Le sang du cheval commence à couler des narines et des oreilles à une hauteur à laquelle l’homme ne souffre aucun inconvénient. Cette circonstance donna lieu à un incident singulier, lorsque, un demi-siècle plus tard, on tenta d’introduire en Angleterre les ascensions équestres, ressuscitées et modifiées en France par M. et Mme. Poitévin. Green, dont nous entendrons parler beaucoup plus loin, voulant maintenir son ancienne réputation de nouveauté, annonça qu’il ferait une ascension équestre depuis Cremorne Gardens. Mais la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux est intervenue, au motif que les chevaux ne pouvaient pas, comme les hommes, supporter la dépression, et qu’il serait cruel de les soumettre à un exercice qui est une cause invariable de saignement. Ne voulant pas contester l’affaire, Green cherchait un cheval qui ne saignerait pas ; il a fait son ascension sur un cheval de bois. La représentation, donc quelque peu burlesque, fut un immense succès. Mais nous n’avons pas besoin de dire que Green ne l’a pas répété.Dès la conclusion de la paix d’Amiens (mars 1802), Garnerin reçoit des invitations pressantes des ambassadeurs de France auprès de diverses cours étrangères, où il est accueilli avec enthousiasme. Son accueil est parfois si cordial qu’il fait courir le bruit qu’il est chargé d’une mission secrète par le Premier Consul, Napoléon Bonaparte. C’est en Angleterre que Garnerin fait sa première ascension à l’étranger, et le parachute fait fureur. Il eut encore plus de succès que le célèbre vaisseau volant de Blanchard. Le public londonien adorait tellement Garnerin que les seuls obstacles qu’il rencontra furent ceux que présentaient la nature et l’ignorance des gens de la campagne. Parfois, dans une partie reculée du pays, il ne trouvait personne pour l’aider dans sa descente ; au lieu de tenir les cordes, les paysans crurent devoir se sauver en prenant la fuite.
Les partisans de la France se faisaient un devoir de prêter à Garnerin toute l’assistance possible. Ainsi, lors d’une grande ascension effectuée à partir de North Audley Street, à Londres, il est indiqué que le grand Sheridan lui-même a coupé le cordon de soie qui retenait l’un des ballons expérimentaux de Garnerin.
Garnerin, après avoir quitté l’Angleterre, se rendit à Berlin, où il connut une curieuse série d’aventures. Un certain Hermbstädt, professeur de chimie à l’université de Halle et conseiller d’État, jaloux, dit-on, de la gloire de Lalande, offrit 200 frédérics d’or à l’aéronaute français pour acheter une place dans sa voiture.Garnerin a accepté l’offre ; mais comme un homme qui avait le sens des affaires résolu à emmener son passager avec lui lors d’une ascension publique ; autrement l’argent du professeur aurait été entièrement absorbé par les dépenses de l’inflation. Lalande n’estimait pas contraire à sa dignité de s’élever du milieu d’une foule, et pourquoi le professeur allemand s’y prendrait-il secrètement, comme s’il faisait une mauvaise action ? La voiture était assez grande pour contenir trois personnes : Garnerin, sa femme et le professeur. Garnerin, cependant, a dit au professeur que des circonstances imprévues pourraient se produire pour empêcher les trois de monter en même temps, mais que lui-même et sa femme monteraient en premier, et que le professeur pourrait suivre la direction du ballon à cheval, et serait pris après avoir parcouru une courte distance. Après avoir satisfait le public assemblé, Garnerin descendrait dans les environs de Berlin, et déposant sa femme, prendrait le professeur à bord de la voiture, et le porterait jusqu’aux nuages ou au-delà avec tous ses instruments scientifiques.
Hermbstädt, qui avait eu le temps de réfléchir, semble assez tôt avoir regretté son marché et était à la recherche d’un prétexte pour le rompre. Il fit de cette proposition de Garnerin un prétexte pour réclamer son argent. « Je vous emmènerai si haut, dit Garnerin pour le calmer, que vous verrez le soleil longtemps après qu’il se sera couché pour les savants qui restent sur la terre. Je vous conduirai dans les plaines célestes où Blanchard était sur le point de périr, et où l’air est si rare que les poumons humains ne peuvent le respirer. En foi d’aéronaute, je ne descendrai pas tant que vous n’en aurez pas vous-même donné le mot.
Mais aucune de ces brillantes promesses ne pouvait séduire le brave professeur prussien, qui persistait dans ses exigences. Garnerin annonça alors qu’il ferait l’ascension, et que la place dans la voiture serait à la disposition du professeur ; mais que, si celui-ci n’était pas présent au moment du départ, il emmènerait gratuitement avec lui un habitant de Berlin. Ainsi dit, ainsi fait. Garnerin partit en présence du roi et de la reine de Prusse, ayant avec lui sa femme et un marchand berlinois bien connu.
L’ascension est réussie. Garnerin, sa femme et leur compagnon restèrent plusieurs heures dans les airs. A son retour à Berlin, Garnerin déclara que, d’après son baromètre, il avait atteint une hauteur de 6300 pieds. La hauteur n’avait rien d’extraordinaire, mais elle semble avoir été trop grande pour les amis du professeur Hermbstädt. Le Dr Gilbert, rédacteur en chef des « Annalen der Physik », a écrit pour prouver que Garnerin n’aurait pas pu dépasser 4200 pieds : une hauteur trop insignifiante pour satisfaire un savant aussi éminent que le Dr Hermbstädt. Il n’avait pas besoin de monter dans un ballon pour atteindre une hauteur encore plus grande que cela. N’avait-il pas l’habitude de regarder le fameux Spectre du Brocken au sommet des montagnes du Harz ? Hermbstädt avait en effet rendu de grands services à la science en refusant de risquer sa précieuse vie. Ainsi écrivait le Dr Gilbert, qui cependant, il ne faut pas l’oublier, était un scientifique vraiment capable et éminent. Malgré les objections de Gilbert, la cour de Prusse combla Garnerin d’honneurs et de cadeaux.
De Berlin, Garnerin se rendit en Russie, où il fut reçu par l’Empereur avec autant de distinction que s’il avait été le chanteur d’opéra le plus populaire de l’époque. Il fit de nombreuses ascensions avec sa femme, qui furent pour le moins de grands succès financiers. Avant de rentrer en France, Garnerin a bien entendu profiter au maximum d’un domaine si riche ; mais ses ascensions ultérieures à Moscou n’étaient pas sans danger. Il revint en France avec une grande réserve de roubles et avec le titre auto-imposé de Grand Aéronaute du Nord.
Premier saut en parachute
En 1797, le premier saut en parachute réussi a été réalisé par André-Jacques Garnerin, lâché d’un ballon à 2 230 pieds au-dessus du Parc Monceau, à Paris. Il est monté dans une gondole fixée aux lignes d’un parachute de 23 pieds de diamètre, qui était soutenu par un poteau en bois et avait ses 32 fuseaux en toile blanche pliés comme un parapluie fermé. N’ayant aucun évent dans le haut du parachute, Garnerin descendit avec de violentes oscillations et souffrit du premier cas de mal de l’air. Pour son prochain saut, il a ajouté un trou dans le haut du parachute. Il a fait son cinquième saut le 21 septembre 1802 au-dessus de Londres, d’une hauteur de 3 000 pieds. Ce fut la première descente en parachute réalisée en Angleterre. Il a atterri près de l’église Saint-Pancrace. Après avoir éliminé l’évent central pour ce saut, il a de nouveau subi une crise de vomissements.
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