Almanach : horodateur du lieu de travailEt maintenant une page de notre almanach du « dimanche matin » : 30 octobre 1894, le jour parfait pour un coup de poing en milieu de travail. Car c’était le jour où Daniel M. Cooper, de Rochester, N.Y., a reçu un brevet pour son « Workman’s Time Recorder » – le premier appareil à utiliser une carte pour enregistrer l’heure à laquelle un employé est entré et sorti du travail. La première horloge de travail de ce type, mais loin d’être la dernière.Cooper a vendu son brevet à un homme d’affaires local, qui a ensuite créé une société pour commercialiser l’horodateur de la marque Rochester. Une société qui est finalement devenue une partie d’IBM. Les horloges sont rapidement devenues une partie omniprésente du paysage industriel américain. Les ouvriers d’usine pointaient dans les lieux de travail, petits et grands une pratique suffisamment familière pour faire partie de notre culture populaire.Les horloges d’aujourd’hui vont bien au-delà de la technologie des cartes de l’époque de Daniel M. Cooper. Dans le but d’éviter les soi-disant « amis » (avoir un ami pour vous), de nombreuses horloges modernes utilisent la biométrie pour valider l’identité, comme avec un produit appelé Wasp Time, qui utilise une « fenêtre de reconnaissance d’empreintes digitales ».Et bien que l’horloge du temps soit toujours très présente, la croissance rapide du télétravail lui donne du fil à retordre. Selon une analyse récente, le nombre de travailleurs à domicile « se connectant » plutôt que de se connecter a bondi de 100 % entre 2005 et 2014, avec près de 3 % de tous les employés travaillant désormais à domicile au moins la moitié du temps.SPÉCIFICATION faisant partie des lettres brevet n° 528 223, en date du 30 octobre 1894. Demande datée du 14 mai 1894. À tous ceux qui peuvent être concernés.-
Qu’il soit connu que moi, DANIEL M. COOPER, de Rochester, dans le comté de Monroe et l’État de New York, j’ai inventé certaines améliorations nouvelles et utiles dans les enregistreurs de temps Workmens ; et je déclare par la présente que ce qui suit est une description complète, claire et exacte de la même chose, référence étant faite aux dessins d’accompagnement, faisant partie de cette spécification, et aux numéros de référence marqués dessus. Ma présente invention concerne les machines connues sous le nom d’enregistreurs de temps pour ouvriers, et elle a pour objet de produire une forme d’appareil au moyen duquel un ouvrier enregistre personnellement sur sa carte individuelle ou son pointage l’heure à laquelle il entre ou sort de l’usine, ou les deux. ; et ladite carte étant adaptée pour recevoir des marques indiquant le nombre exact d’heures qu’il a passées à l’usine pendant une période donnée, disons une semaine, le montant du salaire qui lui est dû à la fin de cette période peut être facilement calculé sans qu’il soit nécessaire jusqu’ici , de transcrire sur une bande de papier continue plusieurs entrées afin de calculer le montant des salaires.
Dans la réalisation de l’invention, je fournis un horodatage incorporant un mécanisme d’impression approprié et adapté pour imprimer sur un chèque ou une carte appropriée l’heure exacte de l’opération du timbre, et les positions relatives des marques faites sur la carte par le timbre indiquant si l’ouvrier entre ou sort de l’usine et aussi le jour et quelle partie de la journée, c’est-à-dire, que ce soit dans la matinée ou dans l’après-midi, et cela consiste en certaines améliorations dans la construction et les combinaisons de pièces, le tout comme il sera décrit ci-après et les nouvelles caractéristiques soulignées dans les revendications à la fin de cette spécification.
Dans les dessins, la figure l est une vue de mon enregistreur contenu dans un boîtier approprié montrant également deux réceptacles pour les cartes disposés à proximité de celui-ci, l’un adapté pour contenir une carte pendant que l’ouvrier est à l’intérieur et l’autre pendant qu’il est hors de l’usine ; une élévation avant de l’appareil avec des parties du boîtier en t arrachées pour montrer la construction i des pièces ; -une vue latérale du tampon de marquage avec un côté du cadre retiré ; la figure 4, une vue en plan du tampon de marquage ;
Horloge
En 1894, Daniel M. Cooper de Rochester, N.Y. a reçu le premier brevet américain pour une horloge pointeuse (n° 528 223). Des cartes de pointage étaient insérées dans la machine, et lorsqu’un levier était pressé, l’heure était enregistrée sur des cartes spécialement imprimées divisées par des lignes horizontales en sept espaces égaux pour les jours de la semaine. L’horloge servait à enregistrer l’heure à laquelle les employés commençaient et terminaient le travail. Connue sous le nom de Rochester, la machine a été fabriquée par la Willard and Frick Manufacturing Company.
https://www.cbsnews.com/news/almanac-workplace-time-clock/